Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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Cours d'arts et littérature magiques #1 | Le théâtre magique | 6ème année

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Mer 23 Avr - 1:55
Le Théâtre

MacFhionnlaigh entre en faisant claquer ses talons sur les tuiles de sa classe. Ayant déjà quelques minutes de retard, elle n’attend pas pour commencer à parler. Pour ne pas paraître trop froide, elle jette un regard fixe, accompagné d’un sourire, sur approximativement tous ses élèves.

«Bonjour, bonjour, mes coquelicots! Je pense qu’aujourd’hui, je vais faire plaisir à quelques nés-moldus : nous avons aussi du théâtre, nous sorciers!  Un peu différent, probablement, mais du théâtre tout de même.»

Elle s’arrête face à son bureau et y jette vivement tout ce qu’elle tient dans ses pattes. La miss attrape ensuite sa baguette et l’agite vers le tableau. De grandes lettres blanches se dessinent pour marquer le tableau vert d’un « THÉÂTRE MAGIQUE». Chose faite, elle redépose le bâton de bois sur la table. La blonde tape ses deux mains ensemble, prête à reprendre la parole.

«Il existe, pour ceux qu’ils ne le sauraient pas, une école spécialisée en arts dramatiques.  La Wizarding Academy of Dramatics Arts. Et j'ai bien envie de vous en parler un peu!»

Elle sautille un peu se déplaçant à droite de la classe, cherchant ses mots.

«C’est vers la fin du 18ème siècle qu’on assiste à sa création. Après toutes les controverses religieuses auxquelles le théâtre moldu a eu le droit. En effet, suites aux fameuses chasses aux sorcières, le monde sorcier prend beaucoup plus de précautions et comme le théâtre sorcier est bien différent de celui de nos compatriotes moldus, il faut donc éviter de taper à l’œil. Elle est, à l’époque, dirigée Jean-William Goeschyle, un homme qui aurait, apparemment, écrit plusieurs œuvres dont nous n’avons trouvé aucune preuve de l’existence à ce moment. Actuellement, elle a à sa tête une femme dont le nom s’est malencontreusement envolé de ma tête.  »


Elle bouge un peu vers les rangées de bureaux, valsant entre elles. Accrochant parfois le livre d’un élève, la plume d’un autre, avec sa jupe trop volumineuse.

«Dès sa création, des tonnes de jeunes sorciers sortant de Poudlard et ne sachant pas quoi faire de leur vie ont tenté leur chance. Cependant, les critères de sélections sont particulièrement méchants : les candidats métamorphomages, animagus ou ayant une capacité remarquable pour les sorts informulés en plus d’un talent réel en théâtre sont privilégiés. Il paraîtrait même qu’ils n’ont pas besoin de faire d’auditions : ils ont une petite boule de cristal qui ressemble en son rôle un peu à notre Choixpeau. Elle s’illumine quand un individu ayant du potentiel arrive devant elle. Autant dire que beaucoup sont partis bredouille.  »

Tout en parlant, la dame agite les bras dans les airs, comme le ferait un chef d’orchestre. Lentement, elle retourne vers l’avant de la classe. Anabeth pousse la pile parfaite de livres vers le côté jardin de sa table et pose son fessier princier sur le coin de celle-ci. Elle empoigne un livre à l’aveuglette et l’ouvre avant de le coucher sur ses genoux.

« Au départ, son enseignement se base principalement sur les principes du drame, suivant ainsi le courant de l’époque. Cependant, elle dérive actuellement vers d’autres eaux. À l’époque où le réalisme connaît une montée extraordinaire – c’est-à-dire présentement pour les moins allumés d’entre vous –  l’Académie se concentre plutôt sur l’enseignement du théâtre féerique, inspiré des contes de fées. Certes, il y a quand même de l’étude du drame, du surréalisme et du réalisme qui se fait, mais plutôt du côté des marginaux. En effet, les plus grandes productions qu’elle a pondues depuis les cinquante dernières années sont des adaptations des contes de Beedle le Barde et des frères Grimm, en plus de quelques productions basées sur la vie de certains sorciers, avec un peu plus de détails épiques! »

L’ex-gryffondor balance légèrement ses jambes. Elle fixe quelques élèves à tour de rôle, un grand sourire aux lèvres. Elle attend un peu au cas où qu’un d’entre eux ait une question.

«Donc j’en viens maintenant à parler un peu plus des particularités du théâtre magique. Le théâtre magique a de particulier l’utilisation massive de la magie. En effet, il est possible d’utiliser divers dons pour plus de réalisme. Les acteurs animagus peuvent servir pour interpréter les rôles d’animaux intelligents ou simplement d’animaux non-intelligents, mais beaucoup plus réalistes que des humains déguisés. Les actrices aux ascendances vélanes peuvent jouer  des beautés beaucoup plus réalistes que si elles étaient interprétées par une demoiselle bof bof. Ces deux dons-là, par exemple, sont fort utiles en matière d’adaptation de contes de fée, d’ailleurs!  Éventuellement, toutes les capacités spéciales peuvent trouver leur place au théâtre. »

Elle se donne un élan pour descendre rapidement de son coin de table, mais en atterrissant mal sur ses deux talons, elle manque tomber. Heureusement, elle se reprend bien vite et tire une  mine de « personne n’a rien vu! ».

Elle attrape sa baguette et l’agite vers le tableau qui, sur le coup, se met à effacer les inscriptions.

« On peut aussi, pour plus de plaisir, cacher des techniciens côté jardin et côté cour de la scène pour lancer des sorts informulés dans le but de faire exploser un verre ou de faire pousser soudainement les cheveux de la princesse! Il leur suffit d’utiliser de leur imagination pour voir les mille et une possibilités qui dansent sous leur nez. Cependant, l’utilisation des potions est interdite par la section culturelle du ministère de la magie, car il suffirait ainsi de très peu d’acteurs pour combler beaucoup de rôles et ceci aurait un impact dévastateur sur la disponibilité des emplois. Beaucoup de compagnies théâtrales ont vu leur dernier souffle soufflé à cause du non-respect de cette règle.»

Encore une fois, elle agite sa baguette et sur le fond vert s’inscrit l’énoncé du travail.

«J’espère pour vous que vous avez bien écouté, car ces petits détails vous seront utiles pour l’exécution de votre atelier. En bref, vous devez m’écrire le synopsis –le résumé, d’une pièce de théâtre! Ne vous imposez pas de limites : jouez avec les éléments magiques! Les plus courageux d’entre vous pourront me joindre un dessin scénographique! Qu’il soit détaillé ou en bonshommes allumettes!»

Elle ricane doucement et se pose sur la chaise face à sa table. Doucement, elle pousse sa pile de bouquins pour faire de l'espace: les élèves poseront leur travail à gauche du bureau.

Marche à suivre

Thème - Le théâtre magique
Limite - Maximum 25 lignes.
Dates - 22/04/2014 -  29/04/2014
Récompenses - 2 gallions & 5 points pour les élèves rendant leur devoir. 5 gallions & 15 points + une vieille brochure  publicitaire de la W.A.D.A (au cas il/elle envisage une carrière théâtrale) pour l'élève rendant le meilleur devoir.
Énoncé - Les élèves ont eu le droit à un blablatage à propos de la Wizarding Academy of Dramatic Arts et des avantages qu'a la magie sur l'art du théâtre. Madame Anabeth vous demande donc de faire fonctionner un peu votre machine à imagination et de lui écrire le synopsis d'une pièce de théâtre.  Il faut garder une chose en tête : sky's the limit ! La magie offre des opportunités qui ne sont pas possibles dans le monde moldu (des transformations soudaines, des animaux qui parlent, des balais qui volent vraiment, des explosions d'objets...). Vous pouvez joindre un dessin représentant le décor désiré  (ceci ne changera rien à votre note. C'est simplement pour le bon plaisir de MacFhionnlaigh)!
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Serpentard
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Icarus K. O'Neill
Icarus K. O'Neill
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Jeu 24 Avr - 17:54
Icarus se tassa sur sa chaise à chaque fois que son professeur mentionnait le mot « animagus ». Son secret était bien gardé et c'est avec une touche d'amusement qu'il s'imaginait admis d'office dans cette école mais la peur d'être découvert le ramenait très vite sur Terre...

En prenant un air détendu et serein, Iko gratta son parchemin avec une écriture légèrement tremblante. Une vision d'horreur présentant un Viridus furieux lui arracha un grincement de dents discret.

Citation :
Pièce tirée d'une fable sorcière qui se déroule à l'époque du Moyen age. L'histoire raconte la vie d'un jeune prince sorcier dont l'existence se résume aux flatteries et sourires hypocrites qu'exige son rang et un père à cheval sur les apparence de la noblesse. A cette époque la notion de sang pur était tellement importante et vivace qu'il nageait dans le luxe, au dessus des lois et à l'abri des tracas.
Désireux d'une vie simple et écœuré par ce rythme de vie pompeux le prince va trouver un peu de liberté à travers les animaux de la foret qu'il aperçoit lors des séances de chasse – seul moment ou il autorisé à sortir des murs du château.
De jour en jour il va envier ces bêtes et va se lancer dans une magie encore toute jeune, si jeune que ce ne sont que des rumeurs qu'on ose à peine murmurer. Le prince va doucement se lancer dans l’apprentissage d'un animagus.
Après deux longues années il parvint au bout de son labeur et prend l'apparence d'un jeune loup pour s'aventurer hors du château sans éveiller les soupçon.
Peu à peu il s'intègre à une meute et observe avec émerveillement leur fonctionnement. Contrairement aux hommes, les loups les plus forts protègent et se privent pour le bien être des plus faibles et les plus jeunes. Dans son monde, les puissants s’empâtent sur le dos des pauvres.
Le sorcier passa une année durant laquelle il goûta à la vrai liberté.
Malheureusement pour lui, un soir qu'il s'isolait pour se transformer, son père le roi, le surprit et l'accusa d'une magie impure qui visait à le rendre non plus égale de l'homme mais soumis à ce dernier. Un sorcier qui prenait l'apparence d'une bête ? Jamais ! Blasphème ! Ce n'était pas digne de l'homme.
Sans procès sa baguette fut brisée et banni sur le champs, sans espoir de pardon.
En plein hiver, démuni et sachant son sort scellé, le prince se rappela le mode de vie des loups et se dit que s'il devait mourir, il le ferai dignement.
Il se dirigea vers la demeure des loups, affamés par la rudesse de la saison et se laissa dévorer pour qu'ils puissent passer l'hiver.
Dans sa chute vers les ténèbres une pensée apparut comme une lueur de réconfort :
C'est en se croyant humain que l'on deviens animal et en se voulant animal qu'on est le plus humain.

C'était simple, pas de magie dans tout les sens mais il y avait mis du cœur. Posant sa plume avec délicatesse il se leva en silence pour rapporter sa copie sur le bureau central.
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Serdaigle
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Cyryiel Song
Cyryiel Song
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Sam 26 Avr - 15:08

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Le théâtre magique


Dans la Salle de classe de classe d'Arts magiques


Cyryiel était arrivée légèrement en  avance au cours, aussi elle avait put choisir sa place et s’était installée à proximité d’une fenêtre et observait ce qui se passait en contrebas de la classe. Elle était perde dans ses réflexions quand les talons de Madame MacFhionnlaigh avait foulés le sol de la classe. Elle écouta avec attention le discours sur la W.A.D.A, c’est vrai qu’elle ne savait pas vraiment quoi faire de son avenir après être sortie de Poudlard. Après que la professeure eut fini son speech, elle saisit sa plume et repensa aux récits de son enfance.

Cyryiel Song
6ème année

Le théâtre magique
La pièce que j’ai choisie est l’adaptation magique d’une légende moldue grecque, et plus particulièrement celle de la fondation d’Athènes.

Lorsque la ville fut bâtie, deux dieux se la disputèrent, Athéna fille de Zeus et Poséidon maitre des mers. Zeus lui même n’arrivait pas à calmer cette querelle. Afin de régler ce conflit pacifiquement il fut décidé que les citoyens de la ville choisiraient. Et dans le but de convaincre les habitants de la cité tous se retrouvèrent sur l’Acropole ou les dieux firent chacun un présent à la ville.

Athéna fit apparaitre un olivier du néant avec une simple branche de cet arbre (Branche qui est en fait une baguette déguisée et l’olivier est crée par un sort informulé). Poséidon créa un cheval (en réalité un sorcier animagus qui était caché par un sortilège d’invisibilité).
Les citoyens choisirent un ancien de la cité en tant que porte-parole, il déclara au nom de tous que les deux cadeaux étaient magnifiques. Que le cheval de Poséidon était le symbole de la force, du courage, et de la guerre, alors que l'olivier représentait  la prudence, la sérénité, la paix.

Cependant la guerre pouvait apporter la richesse, et le pouvoir, mais qu’il était acquis dans la violence. Alors que la paix, même si elle apportait des biens moins précieux, ceux-ci étaient durables, comme la vie d’un homme.  

Les citoyens étaient d’accord avec ces paroles et ils choisirent Athéna comme protectrice de la ville, et celà donna son nom à la ville. Après le vote, les citoyens promirent un temple à Poséidon et des offrandes.

Bien que Cyryiel ait toujours éprouvé un intérêt pour le théâtre, depuis son enfance elle était fascinée par les mythes et les légendes de la Grèce antique. Si un jour celles-ci étaient mises en scène par la W.A.D.A elle ferait tout pour pouvoir les voir. Le sujet n’était pas très long, il n’y avait pas de multiples effets magiques. Mais juste ce qu’il fallait pour sublimer la légende. Cyryiel se leva et alla rendre sa copie au bureau.
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Dim 27 Avr - 11:35
    Elle tapotait nonchalamment sa table tout en écoutant d'une oreille distraite le cours de MacFhionnlaigh, en songeant peut-être que ça faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas lu ou simplement vu une pièce de théâtre moldue. Mais il était vrai que sur quelques points, le théâtre magique savait se rendre attractif. Enfin elle observait d'un regard fatigué la gesticule de MacFhionnlaigh, maladroite sur ses talons. Même ça ne suffisait plus à donner l'impression que l'heure passée plus vite. Elle eut un léger soupir en entendant les consignes de l'exercice, mais enfin, elle attrapa sa plume.

    Citation :
    La pièce reprend l’histoire d’un conte populaire sur fond de comédie, celui d’une jeune princesse se piquant le doigt à un fuseau avant de tomber dans un profond sommeil. Le rôle de la princesse est donnée à une Vélane, par soucis d’authenticité de véritables fées joueront le rôle des Marraines, surtout pour faire jolie, et sèmeront avec joie et espièglerie la zizanie sur la scène, et bien sûr, un véritable dragon accompagné de ses dresseurs est au rendez-vous pour émerveiller le public de ses flammes. Il s’agit d’un théâtre muet dominé par le non-sens et où la danse, la musique et les effets de scène sont de mises.
    L’histoire débute après que la jeune fille se soit endormie. On suit alors la progression d’un bouffon errant qui fait office de prince, et dont la présence n’est que le fruit du hasard, et qui enchaîne maladresses sur maladresses. Le pauvre homme est malheureusement recruté par nos trois vilaines fées pour secourir la princesse à grand coup de baguette magique dans les fesses. Il est alors soumis aux caprices de ces trois nunuches qui n’auront de cesse de le mettre dans des situations embarrassantes. Et c’est avec fière allure sur un âne à trois pattes, sa tapette à mouche dans les mains en guise d’épée royale, qu’il avancera non pas sans mal en direction du château endormi.
    Les personnages deviennent ici agaçants, encombrants. La niaiserie et la sottise des protagonistes n’en deviennent que plus détestables. Et tout est mis en œuvre pour pouvoir espérer que ce lamentable prince en carton ne parvienne jamais à réveiller la belle Vélane, dont on plaint définitivement le destin. Finir ses jours avec un abruti pareil, ce n’est pas donné à n’importe qui.
    Et c’est avec soulagement que le spectateur pourra apprécier le rôle de Maléfique, ne faisant son apparition qu’au premier et dernier acte pour se débarrasser définitivement des trois fées, et voir le bouffon s’enfuir du château avec lâcheté après que la Princesse lui ait jeté au visage un merveilleux et ô combien digne de son rang, rôt. La Princesse ne se réveilla pas, le soit disant prince se terra dans un trou, il n’y eut ni mariage ni enfants. Ne reste que le rire démoniaque de la méchante fée et le couinement des trois autres.

    Pas de fin heureuse. Les personnages ne le méritaient pas.
    Nanette ne fut pas franchement satisfaite de son devoir, ça l'indifférait peut-être en quelque sorte. Mais ça ferait l'affaire. Elle rendit à son tour sa copie.


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Kalev Hopwar
Kalev Hopwar
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Dim 27 Avr - 13:13
Kalev, au fond de lui, était un peu un artiste. Quand on écrivait secrètement de la poésie avec le professeur Lovecraft, qu'on était en admiration devant l'Erudit et qu'on rêvait d'avoir un jour son propre portrait magique accroché dans Poudlard, forcément, on avait des atomes crochus avec les cours d'art et littérature magique. Sauf que le théâtre... Kalev n'était pas très calé, en théâtre. En même temps, il ne savait pas mentir, et jouer un autre personnage sur scène, c'était un peu mentir, alors forcément, tout ça, c'était un peu trop compliqué pour lui. Quoique, sa déclaration à Calypso sous fond de clafoutis enchanté était d'un certain point de vue très théâtrale.

Citation :
Très chère madame,
Avant de commencer mon devoir, j'ai un message pour vous : monsieur Erudit dit qu'un cours sur les droits des tableaux et tout, c'est pas trop son registre, mais moins ça m'intéresse vachement, vous pouvez faire un cours sur ça ? Un cours commun avec l'Erudit, ce serait le meilleur cours du monde ! Amicalement, Kalev.

Ma pièce se passe dans une taverne, vous savez, comme au moyen-âge. Un ménestrel est narrateur, dans un coin de la scène. Trois sorciers entrent soudainement, baguette à la main, et essouflés, demandent le gîte. La tavernier, sous la peur, se transforme en grenouille : il est atteint de la Crapotrouille, selon la pièce, mais en vrai c'est juste un sort de métamorphose hein.
Les trois sorciers s'attablent et mangent. On comprend qu'ils fuient le ministère quand arrive un aurore qui lance un cracbadaboum sur l'un des sorciers. Le publique est censé rire parce que l'acteur porte un caleçon à motif serpents/coeurs, invention de Alix ma capitaine préférée.
Un des sorciers veut se lever pour se battre mais sa robe est Maître Fantôme par le cerbère de l'aurore qui ricane comme un grand méchant (on doit avoir pitié des pauvres mages noirs vous comprenez, pourquoi ils ont toujours le mauvais rôle ?).
Le dernier sorcier, quand même pas un faiblard, veut lancer un sort interdit, mais sa baguette se transforme en vélane ! Envoûté, il tombe amoureux et se suicide (parce que aimer sa baguette, vous voyez...) dans une gerbe d'étincelles. A ce moment, le ménestrel déclare la victoire de l'aurore. C'est sans compter le sorcier au caleçon qui, à l'entracte et au changement de décor, les fait transplaner !

L'aurore et le sorcier presque nu se retrouvent dans une école moldue. C'est la panique à bord, les adultes appekllent la police alors que les enfants sortent leurs tomes de Harvy Poller à dédicacer (un livre moldu sur nous sorciers, par K.J Kowring. Ma mère est fan). Finalement, l'aurore et le mage noir finissent en prison moldue pour exibitionnisme et attentat.

C'est censé être du théâtre comique avec des chutes, des accessoires drôles et des répliques comme "Il est trop tard, Serpentard !" ou "Moi aurore, je t'arrête dès l'aurore !". C'est autant destiné aux moldus qu'aux sorciers si les trucages magiques sont bien faits.

Bon, il n'était pas très fier, mais il avait passé son message sur le droit des tableaux, alors tout allait bien. Il posa sa plume et rendit son devoir.
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Elise B. Dickney
Elise B. Dickney
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Dim 27 Avr - 15:01
Elise Blaze Dickney a écrit:
Elise Blaze Dickney — Serdaigle — Sixième année.

« Mantis était née un matin ; alors que les oisillons chantaient, aux prémices du printemps. Ses parents n’étaient ni riches, ni pauvres. Les temps encore médiévaux étaient baignés de fantaisie et de magie — tout n’était qu’illusion amère et réalité parfumée. Blonde, l’enfant avait grandi dans le pli de deux tendresses ; elle était le vestige d’anciennes délicatesses. Des regards ténus, des sourires diffus. Sa mère était belle, sa mère était douce ; mais l’amour semblait tari au profond de son cœur. Son mari, brun basique ; maniait baguette dans les champs — ce n’était que le soir qu’arrivait le vrai bonheur, aux yeux de la petite. Pour elle, c’était le début des contes ; les envolées lyriques et les rêves balancés. Elle s’en noyait, devenait ivre de ces songes rosés.
Comme en réponse à sa prière, on l’arracha à son foyer. Il n’y eut vraiment de cris, et Mantis ne se sentit jamais triste. Un peu peinée, peut-être ; de laisser ses souvenirs derrières elle, dans un angle de page ; alors que s’entamait nouveau chapitre.
Posée sur trône, qu’elle était, la jeune demoiselle. Sa mère aurait été une cousine de la défunte reine ; et il était temps qu’elle, blondeur candide, réponde aux attentes. Elle fut choyée et éduquée ; ses habits brodés pavant son corps laiteux dépourvu de miasme ou parasites extérieurs.
Le dernière acte s’enchaine rapidement. Des explosions surgissent. Certaines sont cotonneuses et brillantes ; comme ce bel homme, ce prince quasi charmant ; quoique peut-être totalement — venant et épousant. Tant d’amour nouveau, vivifié et fort. Mais voilà la princesse qui se tort, s’expose et s’effondre. Elle se lasse, s’innove toute autre ; se désire à l’opposé. Son corps se change, devient glacé ; froid en beauté. La voilà qui s’éloigne, devient la grande méchante ; la bannie de la cour. Elle repend pluies torrentielles sur le pays — tout cela frôle l’absurde, mais que vouliez-vous ? N’avait-ce pas été jeu d’apparences tout de long ? Ce ne fut que poignardée par son père, vieil homme plongeant de cette action à bras ouverts dans la folie ; que Mantis réalisa ses erreurs. Affaiblie et au sol, brisée et larmoyante ; ses prunelles se redressèrent un dernier instant, devinant au loin château et traditions — c’en était fini. Et rien au monde ne pouvait la sauver, ni même les angoissantes réalisations de ses péchés ; fautes et puérilités.
La pièce s’achève finalement sur l’affaissement de la protagoniste, alors que son regard se voile ; ses iris percevant son mari lors d’un dernier instant. Tout en intensité et désespoir, l’amour ressurgissant violement et enserrant les gorges ; mais rien à faire. Mantis finit par éclater, exploser dans une déflagration de lumière repentie  — c’est fini.

Soupir, Elise pose plume; se lève et va rendre copie. Son résumé de pièce ne l'enchante pas plus que ça; il manque des informations élémentaires et la trame est plus que bancale. Enfin, elle n'y peut plus grand chose; il ne lui reste plus qu'à attendre le résultat.
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Mar 29 Avr - 12:59
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Que c'était agréable de voir quelqu'un d'aussi passionnés par la matière qu'il enseigne. Quelques mauvais élèves avaient profité du retard de Mme MacFhionnlaigh pour s'éclipser du cours. La femme faisait les cent pas, allant çà et là tout le long de la leçon. Donnant par la même occasion le tournis à quelques élèves.
Le théâtre magique, la Serpentard rêvait d'en voir un en vrai depuis son entrée dans le monde magique.


Amalya à écrit a écrit:
Cette pièce est un compte qui a été par la suite adapté au théâtre. Comme vous avez demander un synopsis et non un résumé, je ne vous dévoile pas la fin du compte et vous décris donc les grandes lignes sans spolier comme le veux la définition d'un synopsis, si vous désirez plus de détails sur ce derniers, je vous les fournirai avec plaisir. Vous trouverez ci-joint deux dessins réaliser par moi-même d'après les notes d'un livre se trouvant dans la bibliothèque.

Il existe quelques parts une contrée lointaine qui se définit en une énorme forêt divisée en trois territoire. Celui des insectes gérant, celui des satyres et celui des nymphes aillées. Chacun ayant un dirigeant à sa tête. Guarwynd et son armée d'insectes sujets ont attaqué le roi Marvius, alors qu'il cherchait le remède à la malédiction dont son fils unique héritier était victime. Bien évidemment la reine insecte est à l'origine de cette malédiction.
Apprenant la mort de son père le jeune Ydolvis décida avant même une quelconque cérémonie de succession, de partir lui-même à la recherche de son seul remède existant. Le véritable amour.
Mais Guarwynd ne l'entendait pas de cette oreille. Elle voulait leur territoire et y mettrait les moyens pour arriver à ses fins.
Ydolvis parviendra-t-il à trouver son âme sœur avant que la malédiction ne le ronge complètement ?

ydolvis:
Guarwynd:

Pendant un instant, Ama s'évada encore une fois par ce compte qu'elle avait lu et relu. Ce soir, elle relira probablement au coin du feu dans le salon commun.
Elle posa sa plume et referma son encrier et rendu sa copie. Les jeux sont fait.


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Gryffondor



Edgar Herrison
Edgar Herrison
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Mar 29 Avr - 13:03
Lorsqu'on aimait la littérature comme lui, il était évident qu'on arrivait en avance en cours, qu'on écoutait avec passion et que chaque devoir proposait signifié aussi beaucoup de pression. Edgar espérait être bon. Ce qu'il ne savait pas encore c'était que savoir lire ne voulait pas forcément dire savoir écrire.

Edgar Herrison a écrit:
Toute la pièce a en décors de fond une forêt féerique, où résideune multitude de fée qui illumine tout le lieu. Au centre, leur reine brille d'autant plus. Face à ce spectacle – chorégraphié pendant quelques minutes pour laisser le spectateur s'émerveiller – vient une jeune enfant à ascendance Vélane. Elle demande à devenir une fée. Pour ce faire, la reine lui annonce qu'elle doit passer 3 épreuves et elle n'a le droit de faillir qu'une seule fois. La liste des trois épreuves se dessinent au fur et à mesure de la pièce dans le ciel dans une poussière argentée, et le chemin quelle doit prendre est marqué grâce à de douces flammes bleus. Chaque épreuve se passe en avant scène, le décor se modifie en fonction du lieu. La première étape consiste à récupérer six graines de Puffapod dans une clairière verdoyante, mais couverte de pièges : effleurer une fleur la fait explosée en une myriade d'autres fleurs. Elle réussit avec l'aide d'un renard qu'elle a rencontré en route, mais son voyage prend du temps et on apprend dans les répliques que les années passent, c'est pour cela qu'elle grandit : elle subit un sortilège de vieillesse extrêmement bien maîtrisé. La seconde épreuve consiste à récupérer une Tentacula vénéneuse  pour cela ils grimpent une montage, à partir de cette épreuve, la jeune actrice est remplacé par une jeune femme que l'on verra vieillir avec moins d'évidence, la ressemblance est claire entre les deux pour que le spectateur n'y voit que du feu. Les deux protagonistes se rapprochent tout au long des répliques – grâce à un sort on a le sentiment que le renard parle. Une fois près de la plante, ce dernier sauve de justesse la jeune femme des défenses de la plante, mais ils retombent en bas de la montagne. L'épreuve est annoncée comme un échec. L'actrice principale doit donc réussir la dernière qui consiste à donner ce qu'elle a de plus précieux à la personne auquel elle tient le plus. Elle finit par comprendre et dépose un baiser sur le crâne du renard ce qui brise un sortilège dans une brume dorée et le renard prend la forme d'un jeune homme.
Les fées redemandent à la jeune femme si elle désir toujours autant devenir une fée et bien évidemment elle refuse, car par ces épreuves elle a découvert qu'il fallait accepter qui elle était vraiment – et puis, elle a le renard plus si renard que ça dont elle est bien évidemment tombée amoureuse.

Edgar regarda son résumé et se ratatina sur son siège. C'était un massacre, une pièce pour enfant qu'il avait trop détaillé au niveau technique, brisant tout la magie qui aurait pu résider dans un conte théâtral aussi mignon. Il se sentait déçu, vraiment, mais en levant le bout de son nez il réalisa que l'heure allait se finir et que jamais il n'aurait le temps de recommencer.  Il se leva rapidement, de peur d'être le dernier, et alla rendre sa copie, oubliant au passage de relire.
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Amethyste H. Rosenbach
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Cours d'arts et littérature magiques #1 | Le théâtre magique | 6ème année Vide

MessageCours d'arts et littérature magiques #1 | Le théâtre magique | 6ème année Empty
Mar 29 Avr - 20:05
Amethyste écouta attentivement le devoir que la professeure leur demandait de rendre. La passion dans la voix et les explications de Mrs. MacFhionnlaigh motivaient Amy à répondre avec le plus de sérieux possible. Inventer une histoire, ce n'était pas si difficile. Elle en avait des tonnes qui lui trottaient en tête ! Elle prit rapidement sa plume et commença à rédiger.
Une fois finie elle prit même la peine de gribouiller la tête des personnages comme elle se les visualisait en tête. Ils ressemblaient étrangement beaucoup à des personnes qu'elle connaissait.


Amethyste a écrit:


Amethyste H. Rosenbach
6ème année
Serpentard


C’est le conte fantastique d’aventures (adapté en pièce de théâtre) d’une courageuse guerrière qui apprend durant son enfance l’art de la magie. Cette guerrière, répondant au prénom d’Emmy, vit dans un royaume peuplé de créatures magiques, inoffensives ou dangereuses, dont elle a souvent eu à faire pendant ses longs voyages. Tout en haut de la plus haute colline du royaume se trouve une plante enchantée qui garantit la vie éternelle à quiconque en consomme la graine, cette plante est gardée par le gardien de la plante sacrée, Caeius, qui est le seul à savoir s’occuper de cette plante si fragile et la maintenir en vie. Jusqu’au funeste jour où la vilaine sorcière Athena, experte en magie noire et dompteuse de dragons, attaque le royaume sur le dos de son puissant dragon, vole la plante enchantée et  kidnappe son gardien. Alertée par son sens du devoir et de la justice, la guerrière Emmy se mit en route pour retrouver la sorcière Athena, récupérer la plante et sauver Caeius. Et aussi aussi sauver l’humanité contre le danger que représentait cette sorcière si elle venait à devenir surpuissante et immortelle. Elle rencontre au long de son périple des créatures fantastiques, certaines l’aideront et deviendrons ses amies, d’autres essaieront de la ralentir et de l’empêcher de poursuivre son chemin. Ma sa force et sa détermination la guideront jusqu’au château de la mage noire où elle affrontera le dragon, tuera la sorcière maléfique et sauvera le gardien, qu’elle finira par épouser.
Emmy et Athena seront jouées par de véritables sorcières pour que l’affrontement soit plus épique, le dragon bien évidemment sera un vrai petit dragon, la plante choisie sera une plante magique inoffensive aux graines incandescentes/qui bouge pour faire plus vrai et toutes les créatures fantastiques rencontrées en route seront de véritables fées, centaures ou métamorphomages.

Emmy:
Athena:
Caeius:

Elle lâcha sa plume et se relit. Ça lui plaisait plutôt bien, ça avait le potentiel de donner une longue et passionnante pièce de théâtre où magie, combats et actions tiendrait le spectateur longtemps en haleine. Elle sourit en déposant son devoir et sortit, de bonne humeur.
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Cours d'arts et littérature magiques #1 | Le théâtre magique | 6ème année Vide

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Ven 2 Mai - 19:41
Le Théâtre - Résultats

Meilleure copie
Nanette -  5 gallions + 15 points + une vieille brochure publicitaire du W.A.D.A
La Belle au Bois dormant ! J’aime beaucoup, beaucoup, comment vous avez fait tourner au dérisoire ce fameux conte!  Le non-sens que vous avez tenté de donner à votre pièce est particulièrement présent et réussi. La tapette à mouche! J’ai éclaté de rire. Et puis le dénouement, il fait changement. Le concept d’un théâtre dansant et muet est vraiment intéressant et je pense qu’il mettrait à l’eau à la bouche de plusieurs amateurs de cet art. Et un dragon, aux dernières nouvelles, c’est la première fois que j’entends parler d’une telle idée. C’est particulièrement innovant.

Optimal

Icarus - 2 gallions + 5 points
Malgré le dénouement très peu joyeux, votre écriture est particulièrement douce. À travers vos lignes, l’enjeu de l’histoire semble vous toucher. Ce n’est peut-être qu’une impression, mais je trouvais important de le préciser.  Ceci dit, j’aime beaucoup! C’est un très bon choix de fable et je pense que nous n’avons pas encore eu la chance de la voir adaptée sur scène. Je ne sais pas pour vous, mais peut-être une ambition future ? (Aucun besoin d’être théâtreux confirmé pour faire du théâtre!)

Edgar  - 2 gallions + 5 points
C’est tout simplement beau! Avoir intégré une petite description scénographique est bien utile, car ce n’est pas tout le monde qui a la capacité d’imaginer un  décor leur tête (moi, je l’ai, mais si vous l’aviez fait lire à quelqu’un d’autre, on ne sait jamais). Le concept des trois épreuves est commun à beaucoup d’œuvres, mais les deux que vous avez décrites, de par l’utilisation des fleurs, ont en elles une belle touche d’originalité! Le début dansé, c’est une bien merveilleuse idée typique des contes de fées. De quoi mettre le spectateur dans le bain! C’est un très bon potpourri d’éléments magiques et s’il devait être un jour joué, je pense qu’il ferait un succès.  Oh, et, je comprends la demoiselle d’avoir refusé d’être une fée. Ces êtres sont tellement vicieux.

Amalya - 2 gallions + 5 points
Vous êtes probablement la seule à avoir tenu compte de la véritable définition de « synopsis », j’espère donc que vous serez contente des quelques points que cela vous a donné. C’est un bon choix de conte et le synopsis est léger et rapide à lire. En soit, il est parfait. Mais j’aimerais en savoir plus, parce que cela m’intrigue beaucoup, beaucoup, trop. Passez à mon bureau si vous le désirez! Et j’aime beaucoup vos dessins, d’ailleurs.


Efforts Exceptionnels


Cyryiel - 2 gallions + 5 points
Je ne connais pas grand-chose à la mythologie grecque (et après je me dis prof d’arts et littérature), mais votre travail pique ma curiosité et j’irai probablement lire à ce sujet plus tard!  Cependant, je pense que le synopsis aurait être un peu plus étoffé. Principalement parce que vu que vous avez intégré deux détails magiques, il aurait été intéressant d’en voir d’autres. Concernant les dieux, par exemple. Auraient-ils pu être entourés de paillettes ou d’un autre truc du genre ? Ce sont des dieux, après tout. Méditez-y si vous comptez en faire un projet sur le long terme !

Kalev - 2 gallions + 5 points
Je verrais, pour le cours. Passez me voir à mon bureau pour me le rappeler. Concernant votre travail, maintenant : c’est totalement absurde! Le sens n’y est pas. Mais attention, ce n’est pas un défaut. Au contraire, c’est une force. Ce qui fait du sens n’est pas toujours aussi bien que ce qui n’en fait pas. Tout dépend de comment l’auteur en fait l’usage. Je pense cependant que votre théâtre, tirerait un peu plus sur le divertissement que sur le grand théâtre intellectuel, mais c’est bien. Je vous reconnais entièrement dans ce que vous m’avez remis. Par contre, au sujet des deux répliques dont vous m’avez fait part : vos rimes sont un peu –beaucoup- plates. Il faudrait peut-être les retravailler et leur donner du contenu ? Mais comme vous ne tentez pas d’écrire un théâtre en vers, ce n’est pas si grave… Mais entre vous et moi, on s’entend qu’il est toujours trop tard pour un serpentard!

Elise - 2 gallions + 5 points
Autant dire que je ne m’attendais pas du tout à ce dénouement! J’ai presque pleuré, la fin est toute triste. Si j’avais pu empêcher Mantis de mourir, je l’aurais fait. Même si elle a mal tourné, je crois que tout personnage, même s’il ne tourne pas du bon côté, a en lui sa part de bon et de beau. En plus, votre texte est très bien écrit. Je pense que si cette pièce devait être jouée, je m’arrangerais pour être aux premiers rangs!

Amethyste - 2 gallions + 5 points
Gardien de la plante sacrée, Caeius de son nom. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ce cher Caesius en lisant le reste de votre travail. Pardonnez-moi! L’histoire est un peu clichée, mais le tout est sauvé par le fait que ce n’est pas la demoiselle qui se fait sauver. J’aime quand les gens osent se détourner du pattern imposé par la société. Et j’espère bien que les sorcières seront jouées par de vraies sorcières, il s’agit de théâtre magique…  Et vos dessins sont… Adorables.

5 points pour Poufsouffle
5 points pour Gyffondor
10 points pour Serdaigle
30 points pour Serpentard


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