Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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le talentueux mr. walter

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Ulysse Kerouac
Ulysse Kerouac
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Dim 31 Mai - 16:51
(prévention : j'ai tiré la dépression aux tasses)

il n'a eu vent de personne qui se méprend autant qu'un moldu se figurant une infirmerie surnaturelle. ulysse s'étonne de la vision qui lui a été dessinée autrefois à l'issue de quelques questions manoeuvrées.

dans leur esprit faible apparaît le prolongement de leurs étourdies légendes. le soin est de la torture médiévale, du gore stéréotypé. pas d'équipement stérilisé ou appareillage, seulement une ampoule sordide. membres ôtés préservés dans un mélange de formol et de magie, entretenus par une assistante totalement désaxée. une nervosée piquée qui se hasarde, seringue en main, prête à une anesthésie jamais aseptisée, une flamme assurément siphonée à la prunelle. et tout prend une tournure meurtrière.

évidemment, selon eux tout être différent du rigoureusement banal et impuissant est définitivement malsain. une pénultième preuve de leur allergie à tout pouvoir, la dernière suivra la désignation du parti saumon au pouvoir. si le monde magique perd suffisamment la tête pour qu'elle ait lieu. et ulysse ne peut que frissonner de dégoût à l'idée.

une vaste blague. les sans-magie n'avaient pas l'imagination suffisante pour se représenter le quart des potions maîtrisées par l'infirmier merveilleux. tout gorgé de potions fortifiantes et de mots rassurants, ulysse boude. il se dit que là est le paradoxe poudlarien, insaisissable aux moldus. il se résoud à la pensée que le danger réel ne réside pas dans les éléments que les moldus dramatisent, mais dans des notions inspirant davantage de terreur. tous les monstres sont humains, ou une réflexion dans le genre.

la présente rêverie pleine de tragédie venait probablement des blessures après les rivalités du tournoi. une batte bleue avait bien envoyé plusieurs torpille en plein dans ses poumons, et adieu oxygène. impossible de se souvenir de l'expéditeur, la météo affreuse l'ayant partiellement aveuglé. mais aussi grotesque que puisse paraître sa théorie, ulysse en entretenait une. depuis longtemps désormais.

et voilà que la voix résonne à ses oreilles, pareille à un signal. sans nul doute, un sourire béat va de pair à son intonation. il ne réagit visuellement pas à l'arrivée, les yeux déviés, les lèvres renfrognées. pareil à un bambin. il n'en a pas besoin pour s'imaginer le masque parfait d'altruisme feint, envié de tout huppé de relations de sa famille. lui ne doit pas être tout endolori. lui a pu assister au dîner de même que les autres, fêtant sûrement sa défaite planifiée, étalant son érudition l'air de rien. bien sûr, ulysse n'était pas du tout jaloux de ses savoirs.

alors lorsqu'il est à portée de voix, ulysse lève le regard, walter !

un grand sourire de félon. à son avis, il est évident qu'un dessein bien plus trouble rôde au derrière d'une devanture simplette. ulysse est persuadé que le réellement bon n'existe pas dans un entourage magique. globalement, le manque d'informations à son sujet l'intriguait le plus, et l'entraînait à imaginer le pire, ainsi qu'il se plaisait à le faire. et maintenant, voilà l'apprenti menteur qui vient angéliquement apaiser les grands blessés. qui sait s'ils ne le sont pas par sa faute ?

étant donné que, vraiment, personne n'est aussi gentil.
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Thomas Walter
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Dim 31 Mai - 18:21
Et il n’avait pas eu faim le soir venu — attrapant à peine une part de Tofu pour le laisser pourrir dans son assiette. Il était bien plus fatigué qu’il n’aurait imaginé — et la table des Serdaigle lui semblait bien vide, sans Elise pour veiller d’un sourire bienfaiteur sur ses aiglons, ou Sloan pour poser brutalement son verre sur la table, ou même Evelynn simplement pour sourire et parler. La table lui semblait vide alors qu’il ne manquait que son équipe pour le rejoindre; ses amis étaient là à lui dire que rien n’était grave, que perdre faisait partie du jeu. Et pourquoi aurait-il été grave, de perdre ? Le jeu de vol n’était qu’un plaisir vague — qu’un simple divertissement, alors rien n’était grave, vraiment pas. Il avait même fini par ne plus s’intéresser au jeu pour aller soigner les autres de son équipe. Alors oui, il y avait plus grave.

Pourtant il ne put rien avaler; et préféra quitter la table tôt, se hâtant à aller attraper tous les bonbons qu’il lui restait dans sa tour isolée. Vous savez — ils auraient pu servir à n’importe quel moment mais — il ne les aurait jamais tous mangé. Il n’aimait pas trop les friandises, ni les gâteaux. Ni rien qui était trop sirupeux. Bonbons en main, sourire aux lèvres, il se hâta entre les murs de Poudlard pour arriver plus vite. Rapidement — toujours plus vite. L’idée lui était venue tell un bouquet — elle était idiote — peu poussée ni élaborée, mais elle se suffisait. A être Thomas, vous savez.

Une main sur la porte — et elle s’ouvre; et devant lui se tiennent tous ses amis bien esquintés. Et il était si heureux de les voir — vivants même estropiés. Il n’aurait su expliquer pourquoi lui s’en été sorti sans rien — pas même un bleu sur ses bras. Il était étrange de se dire qu’en tant qu’élève le plus maladroit de Poudlard, il était le seul à tenir sur ses pieds, après le jeu fort dangereux. Lui qui lors des entrainements et des auditions, avait failli mourir environ trente-huit fois, voilà qu’il semblait le seul à les avoir évitées — les balles meurtrières qui les avaient tous détériorés. ‹ Waw, t’es dans un sale état !’›Et il rigolait — préférait alléger le grave que l’alourdir. SURPRISE ! › et un paquet de bonbon s’était envolé. Une tournée générale s’imposait — aussi voulut-il voir tout le monde, leur demander des nouvelles, les taquiner et presque se moquer; pour modifier leurs pensées négatives. Et il assimilait très bien leur point de vue — mais rien n’était une assez bonne raison pour déprimer, selon Thomas Walter.

Aussi lorsque son nom résonna dans la salle il se retourna — et ne put retenir un grand sourire laissant apparaitre ses dents. ‹ Ulysse ! ›. Il se leva du lit sur lequel il s’était installé et se dirigea vers l’estropié — il n’y avait d’autres mots appropriés pour le définir. Il n’avait pas eu souvent affaire à Ulysse le Serpentard, mais il le trouvait sympathique — ses savoirs étaient toujours très intéressants à apprendre; et ses dires forts amusants (enfin, selon Thomas). Aussi n’hésita-t-il même pas à s’asseoir sur son lit — au bord du lit de l’infirmerie. ‹ Satané jeu hein ! J’aurais jamais parié que TOUS les joueurs se retrouveraient à l’infirmerie sauf moi. On aurait imaginé le jeu de la saison mondiale quand Vlakovish s'est pris 37 fois les balles dangereuses ahah. Dingue tu trouves pas ? Ou le jeu de la tempête de sable, quand le tournoi avait lieu en Arabie Saoudite. › Rire. Et ses dires étaient si vrais — il s’en voulait, Thomas, de ne pas avoir fait quoiqu’il aurait pu faire pour éviter la situation. ‹ Enfin — je trouve très triste la situation, qui aurait pensé que je serais le seul debout après tout le remue-ménage qu’on y a vu ! Honnêtement ! Tiens, j’espère que tu aimes les bonbons, je n’avais pas d’autre idée ›. Ainsi posa-t-il un de ses petits paquets sur sa table réservée. ‹ Tu te sens mieux ? Tu avais une sale tête quand on t'a sorti du terrain. Mademoiselle Euphrasie disait que tu devrais rester à l’infirmerie un petit moment. Enfin — il me semble qu’elle l’a dit APRÈS qu’Absinthe t’ait administré une potion ? Si tu veux, j’ai plein de — d’huiles essentielles et de plantes qui peuvent avoir un effet bénéfique sur tes bleus et si jamais tu as la nosée. Je veux dire, enfin bref — tu vas mieux ? ›.

Rire — il riait toujours, à jamais. Il sourit pour les autres; eux qui n’avaient que la douleur pour se plaindre. Alors il leur donnait le peu qu’il avait — qu’il pouvait faire pour leur respirer un petit air frais.
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Ulysse Kerouac
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Lun 15 Juin - 15:04
thomas avait décidé de poser pour innocent à deux pieds gauches, un jeu tellement transparent à l'omniscience ulyssienne qu'il était inévitablement satisfait de lui-même. et pourtant, une frustration fournie par des années d'observation à la dérobée le cueillait dès qu'il posait son regard sur les joues adorables de walter.

c'était un sentiment insupportable : ulysse sentait parfaitement qu'une erreur avait été commise mais n'arrivait pas à démontrer toute la fourberie de la chose, tout le savoir-faire exécrable. du coup, il ruminait, intérieurement, et parcourait toutes les tactiques de révélations envisageables. mais ce qui lui donnait proprement l'envie de hurler pendant une dizaine d'heures et de noyer sa salle commune en explosant les fenêtres, c'était que de l'erreur, il n'y avait que l'impression.

ulysse ! agrémenté d'un délicieux et vaste sourire.

comment ne pas se laisser entraîner ? la joie, même supposément fausse, était contagieuse. et puis, mimiquer met en confiance. de quoi le faire avouer ses plans démoniaques dans un futur proche.

satané jeu hein ! j’aurais jamais parié que TOUS les joueurs se retrouveraient à l’infirmerie sauf moi.

manquant de renifler sans ménagement, ulysse n'en revient presque pas de l'ostentatoire vantardise. enfin, la modestie ne décore que ceux qui n'ont rien avec quoi se décorer, n'est-ce pas ? c'était une énième fois ces indices que l'on ne pouvait reprocher, mais qui agitaient tous les signaux d'alarme d'ulysse, sans qu'il ne puisse amener qui que ce soit à partager son opinion. tu m'étonnes

on aurait imaginé le jeu de la saison mondiale quand Vlakovish s'est pris 37 fois les balles dangereuses ahah. dingue tu trouves pas ? ou le jeu de la tempête de sable, quand le tournoi avait lieu en Arabie Saoudite.

comme un mec cliché emporté par l'élan du quidditch, se relevant du dossier du lit tu l'as vu ?? dès que je fais des références à la tempête personne comprend. c'est vrai que c'était dingue il se laisse tomber le dos tremblant, la lèvre boudeuse, les yeux rêveurs, j'ai toujours voulu être transféré avec Vlakovish quant il étudiait encore, mais il changeait tout le temps d'école avec sa célébrité

attendez, d'où venait cette effusion d'enthousiasme ? ulysse rassembla son attention. sa voix baissa en intensité vers la fin de la phrase, comme prise d'une soudaine timidité inhabituelle. heureusement, il pouvait toujours compter sur le flot ininterrompu de paroles de la légende des batteurs.

enfin — je trouve très triste la situation, qui aurait pensé que je serais le seul debout après tout le remue-ménage qu’on y a vu ! honnêtement ! tiens, j’espère que tu aimes les bonbons, je n’avais pas d’autre idée

hm, triste n'était pas exactement le mot qu'ulysse aurait employé. suspect aurait sûrement été plus approprié, mais il n'en dit rien. il hocha la tête avec compréhension et empathie, résolu à ne pas admettre un quelconque authentique talent du serdaigle. il était surtout dégoûté d'avoir lui-même essuyé des coups assez gratuits. c'est très gentil, merci (entendre : c'est trop gentil, tu me fais peur).

tu te sens mieux ? tu avais une sale tête quand on t'a sorti du terrain. Mademoiselle Euphrasie disait que tu devrais rester à l’infirmerie un petit moment. enfin — il me semble qu’elle l’a dit APRÈS qu’Absinthe t’ait administré une potion ? si tu veux, j’ai plein de — d’huiles essentielles et de plantes qui peuvent avoir un effet bénéfique sur tes bleus et si jamais tu as la nosée. je veux dire, enfin bref — tu vas mieux ?

c'était quoi ce " bref, passons à autre chose je viens de dire un truc carrément compromettant " ? cette pause avant de prononcer " huiles essentielles " comme si un énorme complot inter-écoles de traffic d'ingrédients se cachait là-dessous ? une excitation de nouvelle découverte, et c'est tout son être qui s'évertue à ne pas le faire exploser en un gros " AHA !!! " qui ruinerait tout le build-up préliminaire. il fallait faire très attention.

um, c'est vrai j'avais peur de pas jouer en finale au départ il relève les yeux de ses mains, tout candide tu sais, contre poufsouffle puis baisse ses paupières de nouveau, continuant à tripoter ses doigts heureusement, tout va pouvoir se faire et un soupir soulagé.

appuyer légèrement sur la défaite serdaigle était très petit (et surtout, très injustifié : le match avait été tout sauf simple). mais la réaction de thomas pourrait faire avancer toute cette éternelle enquête.

tes.... huiles essentielles pourraient définitivement m'aider à réaliser la meilleure performance possible. est-ce que tu possèdes beaucoup d'herbes bénéfiques ? il parla lentement, sur le ton de la confidence. il y avait du secret à récolter, il en était sûr.
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Thomas Walter
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Jeu 25 Juin - 19:37
‹ C’est vrai ? Tu aimes énormément le quidditch alors ! Vlakovish est carrément dingue ! Je veux dire, quand on le voit jouer on se dit que tout est possible. J’aimerais aller le voir jouer pour le prochain tournois mondial; enfin, d’ici là, on a le temps.’ Et il avait suivi son camarade dans un afflux d’enthousiasme sorti de nul part — de partout. Il se sentait rempli de vie, ces derniers temps — à vouloir trop faire, à courir de partout — à être quelqu’un d’actif et d’un peu trop surmené. Une situation qui lui plaisait; qu’y avait-il de mieux que de se sentir respirer, vivant, existant ? Aussi ses émotions suivaient le rythme; et il se voyait réagir de façon souvent disproportionnées pour les situations qui se présentaient à lui. Et c’était si bien; de finalement vivre de tout comme de rien.

Aussi tendit-il le paquet de bonbons à Ulysse et sourit en le voyant les attraper et les accepter. Finalement, tous avaient acceptés; c’était une bonne chose. On disait que le sucre redonnait des forces; n’était-ce pas là le meilleur qu’il pouvait faire ? Presque. Il n’y avait rien à faire — comme jamais, comme toujours. Laisser la vie, le destin ou qu’était-ce, tomber et lui ne pouvait que regarder. L’inutilité de l’être humain le surprenait toujours un peu plus; ce n’était pas que la sienne non, qui le rendait malade. C’était la capacité à regarder et à sourire, acquiescer, sans ne rien faire. Car il n’y avait rien à faire. Aussi pessimiste cette pensée était-elle, c’était la médiocre vision qu’il avait de ce monde; aussi voulait-il palier ces idées; aussi voulait-il lui, être utile aux autres. Et le regard perdu sur ce petit paquet de bonbon, il se disait que peut-être; aussi insignifiant le geste lui semblait-il, peut-être que réellement, ses cadeaux inutiles faisaient plaisir. Et si tel était le cas alors, alors ils n’étaient pas si inutiles qu’il les voyait. Enfin.

Un rire s’échappa de ses lippes. Il était vrai qu’Ulysse avait de la chance; un peu plus et il aurait pu ne pas participer à la Grande Finale de Poudlard. Il était vrai que Thomas n’avait jamais été un grand fan de quidditch, pourtant il pouvait imaginer ou supposer une telle déception. Celle de ne pas pouvoir participer à un match à cause d’une blessure. ‹ Oui heureusement ! Et ce match va être é-pic ! Leur équipe est assez intimidante, mais vous avez assuré pendant notre match alors la victoire vous revient de juste valeur ! J’espère que vous gagnerez. Vraiment ! J’ai hâte de voir ce match ! › Et bien sûr, comme au tournois de duel, il soutenait l’équipe qui les avait battus; c’était comme s’il s’attachait à chaque fois un peu à celui contre lui. Comme s’il lui donnait une part de lui même. La défaite n’avait pas mauvais gout aux pupilles de Thomas, non. Elle ne faisait que lui apporter une expérience, qu’un bénéfice, qu’un savoir. Et c’était la plus belle chose qu’il pouvait avoir. Une fois qu’il gagnait, cela voulait dire qu’il n’y avait plus rien à apprendre. Cela voulait dire que c’était acquis; non intéressant.

‹ J’en ai plusieurs oui. Ma soeur m’en a récemment envoyé d’Afrique ! Elle a dit qu’elles ont été faites par des sorcières Vaudou, alors ça me fait un peu peur. Je veux dire — on ne connait rien d’elles ! › Il rit de nouveau et passa une main sur sa nuque — s’étira le dos. Il se relâcha et son regard retomba dans celui du blessé. ‹ Enfin — je préfèrerais te donner celles que je connais tu sais; on ne sait jamais. Une fois que je les aurai essayé et que je serai sûr de leurs effets, alors je t’en donnerai aussi. J’en ai pour les douleurs musculaires et les douleurs osseuses donc — je vais aller les chercher tout de suite ! Tu as d’autres symptômes ? Tu as besoin de quelque chose d’autre ? Pour le mal de tête ou — ou la vue ! › Et il en avait pour tout — pour n’importe quoi. Pour la toux comme pour un mal de pied cuisant; Thomas aimait ces huiles comme il adorait les faire; c’était un passe-temps, une lubie unique dont il n’arrivait pas à se lasser. Peut-être parce qu’il savait qu’elles aideraient, un jour — comme aujourd’hui. Aussi se leva-t-il, prêt à aller chercher les huiles nécessaires; son regard tomba alors sur la table remplie de cadeaux du garçon.

‹ Waw Ulysse ! Tu as plein d’amis ! Dire que je pensais que les Serpentards ne voyaient que le mal chez tout le monde; ou qu’ils cherchaient toujours les défauts sans voir les qualités et. Waw ! Vous êtes moins seuls que ce que je pensais ! › Il rigola de nouveau. ‹ Enfin, ne le prends pas mal. Ce que je veux dire c’est que je suis content de constater que les Serpentards sont moins seuls que ce qu’ils nous laissent croire. Je veux dire; hm… › Doigt sur le menton, yeux vers le ciel, il chercha quelques instants ses mots. ‹ Enfin tu sais ! Je ne sais pas comment le dire. › Il rit de nouveau, une main dans les cheveux. ‹ En fait — je pensais que tous les Serpentards se sentaient seuls mais apparemment. Ahah, je me trompais ! ›.

Sourire. Car il n'y avait que ça à faire; dans une vie. Sourire.
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