Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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[BUMBYDAY] La danse des maladresses — Camille ♥

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Ven 29 Aoû - 1:35
Il n'avait pas, ou très peu écouté Ludovic. Comme un animal, c'était comme si les sons qui sortaient de la gorge de son cavalier ne lui faisaient plus effet, n'attiraient plus son attention et qu'il ne lisait plus dedans. Ses humeurs et ses tons. Alors il avait mis un temps à comprendre que ça n'allait pas bien, que Ludovic était toujours là et lui parlait, et qu'il était par dessus tout agacé par ce chaos. Le Français était à la fois angoissé par la transformation, puis ravi, se disant que c'était l'occasion pour une nouvelle expérience puisque, après tout, il ne prenait jamais rien au sérieux. Il voulait toujours sourire, toujours rire, toujours trop parler et parler très vite, presque par égoïsme. Tout autour de lui, ils s'admiraient tous dans leur nouvelle forme et la fête battait de nouveau son plein, quoique certains avaient sûrement décidé de se désister, dégoûtés par cette farce. Pourtant, chez les moldus, ils tueraient pour pouvoir changer de sexe aussi facilement et temporairement.

Et puis il avait senti quelque chose s'appuyer contre son épaule, quelque chose de lourd, mais pas trop. Il s'imaginait souvent s'effondrer sous le poids de l'autre préfet qui dépassait les un mètre quatre-vingt, mais il fallait croire qu'en fille, il était soudainement plus léger. C'était presque mignon. Il voulut rougir de leur proximité et voulut tendre les bras pour le soutenir, puis se rappela que non, c'était bien Ludovic, mais dans un corps de fille. Camille était aussi superficiel que les autres. Ça le dérangeait, cette poitrine, ces bouclettes trop longues, ces lèvres pulpeuses et rosées, et ce visage trop fin. Et cette mine larmoyante. Que — larmoyante ?

Ludo-- Qu'est-ce qui va pas ?

Il entendit l'autre blond marmonner quelque chose, décelant un mot en rapport avec un malaise et l'instant d'après, les deux étaient par terre, Camille ayant été éjecté par la poigne de son compagnon qui s'était servi de lui comme appui.
La chute fut douloureuse. L'impact l'avait surpris et il s'était renversé sur le derrière avec les jambes étalées. Et puisqu'il était habitué à toujours porter des pantalons qui recouvraient l'intégralité des jambes, là tout de suite, le fait de montrer sa culotte à tout le monde fut le cadet de ses soucis. D'ailleurs il ne savait même pas ce qu'il portait en dessous et s'en fichait bien, il venait de tomber sur de la pierre et ça faisait fichtrement mal. Avec sa voix de blonde superficielle, plutôt que d'avoir laissé échapper un couinement, il avait poussé un rugissement qui était bien propre à la grâce inégalée des garçons.
Après avoir assimilé la douleur qui se répandait dans ses fesses et son dos, il s'était difficilement remis sur ses genoux — fichus talons aiguilles ! — et s'était précipité vers l'autre masse blonde, les jambes quasiment écorchées par la texture rugueuse du sol.

Mon Dieu Ludovic, je t'ai jamais vu dans cet état, tu vas vomir ? Bouge pas, je vais t'aider et ne vomis pas sur moi, par pitié, allez tiens bon. Attends, je vais te retirer ces foutus talons.

Il rampa jusqu'aux petons de son cavalier et lui arracha (littéralement) ses chaussures, avant de retirer les siennes le plus vite possible, les abîmant sûrement au passage car il n'avait aucune idée de comment les délacer correctement sur le moment. Ce fut la première solution à laquelle il pensa et il n'eut pas le temps d'admirer ses ongles peinturlurés qu'il soulevait Ludovic par la taille, passant son bras par dessus ses épaules. Il tenta de se relever, et relever Ludovic par la même occasion.

Allez on y va, vieeens lààà. Si tu vomis sur moi, je te jette dans les étendues d'eau plus loin, donc retiens ton repas.

La délicatesse était loin d'être son point fort. Pauvre, pauvre Ludovic envers qui il ressentait pourtant beaucoup de compassion. Il faut dire que ses yeux humides l'avaient choqué, bien que ça ne soit pas vraiment son corps qu'il avait vu sur le point de pleurer. Il se retenait à grande peine de l'embrasser sur le front pour le rassurer, imitant les parents cajolant leurs enfants après un mauvais rêve, et Lu' n'avait pas besoin de ça. Quoique.

Tu veux un bisou ? demanda-t-il immédiatement, presque puérilement. Sans vraiment attendre de réponse, il déposa un léger baiser dans les cheveux de l'autre fille. Bisou magique, wala.
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Ludovic J. Dave
Ludovic J. Dave
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Dim 14 Sep - 10:50
« Il y avait beaucoup de bruit tout autours de Ludovic. La musique, forte, presque nasillarde depuis la métamorphose du chanteur — puis le reste. La fête, ceux riant, criant ; s’émerveillant ou bougonnant. Aurait-il tourné sa nuque qu’il en aurait sans doute vu certains danser en cercle et d’autres partir en trainant des pieds — ou des talons, c’était selon. Erm.
Il y avait aussi Camille, ici, quelque part ; un peu loin et un peu près. Il parlait ; vite — un peu trop. Et c’était étrange que d’avoir conscience de tout ce bruit sans pourtant réussir à le vivre réellement. Le blond était comme déconnecté du monde, se sachant pourtant présent, les douleurs physiques comme un amarre à la réalité. La honte et le malaise, quant à eux ; semblaient vouloir le faire disparaître pour toujours. Aussi tentait-il à cet instant de fusionner avec le sol ; la tête écrasée contre les pierres moites et froides du parterre. C’était gênant. Si gênant qu’il n’osait osciller ni même respirer ; se contentant d’être poupée échouée.

Wowh.
Wooooowh.

Il y avait eu des bruissements au niveau de ses pieds, des mouvements ; et à présent il se retrouvait à moitié affalé sur son compagnon, ses jambes ne le portant qu’à moitié. Aussi dans cette position toute particulière et des moins charmantes ; tout lui revint au visage. Les maux de tête, le déséquilibre et surtout cette immense nausée qui semblait lui hurler de dégobiller dans la minute ; sous peine de finir sa vie plus misérablement que tout autre. « Tu devr— »

Non.
Ne. Pas. Parler. Amenant précipitamment sa main ankylosée se coller tout contre son orifice ; Ludovic, groggy, ne comprit qu’une bonne poignée de secondes plus tard qu’il venait de subir une des tendresses de son ami. Enfin, subir n’était pas vraiment le terme ; plus… Se voir offrir ? « Eeeh tu fais quoiii— » Finit-il par s’exclamer, trébuchant à moitié ; s’éloignant de manière peu crédible, un gout tout aussi poisseux que métallique dans la bouche. What. What what what. Inspirant un grand coup, hésitant à se coller une baffe monumentale pour reprendre consistance ; le préfet passa le dos de ses mains tout contre ses lèvres, les retirant aux couleurs de sa maison. Wooowh. Aussi tenta-t-il d’établir quelques pensées logiques, mais les conditions n’aidant pas ; seule une poignée d’onomatopées amorphes et primitives lui vinrent à l’esprit. Par Merlin qu’il se sentait pathétique. Dévisageant avec étrangéité Camille, le dos du pouce collé au nez pour faire bouchon, il resta transit ; la tête vide. Ce ne fut qu’une fois bousculé par deux trois personnes pressées qu’il ne sembla retrouver son état normal-mais-pas-trop. « Episkey. » Marmonna-t-il à son cadet, le prenant de sa main libre quoique peu propre  et l’entrainant dans un dédale de la salle, offrant à ses oreilles un repos bien mérité. Il ne s’en rendait compte qu’à présent, mais l’absence de chaussures lui faisait le plus grand des biens ; et la fraicheur soudaine du couloir était un baume miraculeux à ses maux crâniens. Un, deux. Inspirant, un peu tremblant, il finit par se ressaisir et empoigner de ses deux paumes les épaules de la jeune fille qui n’en était pas une : « Tu as ta baguette ? J’ai la mienne mais, il prit une pause pour s’essuyer les lèvres ; mais je préfèrerais que ce soit toi qui t’occupes de moi dans l’instant. Un episkey serait volontiers, et un revigor, aussi, s’il te plait. » Le tout achevé par une petite moue toute aussi suppliante qu’involontaire. Il ne se reconnaissait plus, et envisageait de plus en plus d’infliger un sortilège d’oubliette à tous ceux l’ayant vu dans cet était ; Camille compris.

Pas de pitié quand il s’agissait de conserver sa fierté.
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Mer 31 Déc - 7:46
Tout n'était que bruit, étourdissement et fascination.
Ses longs cheveux en couettes frôlaient ses bras qui avaient toujours leur couleur basanée et il tendait ces derniers d'une manière préventive vers l'autre jeune fille en face de lui qui menaçait à tout moment de régurgiter son sandwich de tout à l'heure. Elle s'était éloignée de lui en titubant dès qu'elle avait senti ses lèvres se poser sur sa tête, et il fixa en grimaçant le filet de sang qui tachait son sillon sous-nasal. Peu importe les cheveux longs de Ludovic et ses robes vaporeuses, il avait ressenti un minuscule pincement au cœur en le voyant marcher plus loin pour fuir ses élans d'affection. Un peu comme les autres. Mais ce n'était pas grave, parce que l'autre blond avait visiblement le nez en compote. Oh, dans quel état Ludovic était. Il marmonna quelque chose, que Camille n'entendit pas, l'ouïe rendue quasiment inutilisable par les vocalises du chanteur devenue fille avec eux.

Nyeeeeeeh ? Qu'est-ce que tu baragouines ?

La seconde d'après, il sentit une main humide agripper la sienne et l'emmener plus loin, dans l'obscurité de la salle. Il sautilla d'une manière bourrue, se sentant à l'étroit dans son nouveau corps plantureux ; une odeur métallique parvint à ses narines quand enfin il ne sentit plus les effluves du jus de citrouille, les parfums des convives et de la nourriture. Il ne distinguait plus que de l'humidité et du sang.
Il entendait les respirations difficiles de Ludovic. Camille avait presque envie de vomir avec lui à l'entendre, il se sentit lourd. Et puis, il oublia la soudaine fraîcheur du corridor quand son aîné se saisit de ses bras pour lui supplier de lui jeter des sorts. Ça ne le fit pas rougir, ce n'était pas le grand préfet à qui il s'accrochait, mais les mains de Ludovic étaient chaudes. Il grimaça, fronça les sourcils, décryptant le flot de paroles et enfin afficha une mine compréhensive.

Ah. Ma baguette. Pardon. Attends je la cherche, je crois l'avoir foutue quelque part sous ma veste au départ, mais là. Je crois pas qu'elle soit entre ma poitrine.

Quelques bruissements firent écho dans la dédale, alors qu'il passait précipitamment ses doigts sur le col de sa robe. Il l'écarta avec son index et jeta un coup d’œil loin d'être gêné pour confirmer ses dires. Pas de baguette par là, en même temps, il s'attendait à quoi, il l'aurait sûrement sentie.
Oh non. Il fit un regard comique qui mélangeait l'excitation et l'amusement quand il comprit à quoi était probablement dû le poids qu'il sentait au niveau de sa jambe et glissa une main vers le pan de son vêtement.

C'est bien ce que je crois ? C'est ce que je croiiiiiiis ? Oh mon Dieu, c'est ce que je crois.

Il lança un sourire plus que goguenard à son cavalier et souleva d'une manière théâtrale sa robe, laissant découvrir sa cuisse où était attachée une espèce d'étui pour arme. Enfin plutôt un étui pour baguette dans ce cas, car elle y était bien rangée là. Le Français lâcha une exclamation ravie. Retirant sa baguette de son étui et se préparant, il se rappela pendant une fraction de seconde du mini pouce qui leur servait de professeur de sortilèges. Quelle tête avait ce bout d'chou après cette douche ?

Regarde Ludovic, comme dans les films d'action, c'est trop géant ! Camille Bond, owww yeaaah. Ça, ça arrache sa maman.

Un clin d’œil bien placé, un rire aigu, avant de prendre un peu plus au sérieux les taches d'hémoglobine autour de la bouche de Ludovic et son expression. Petite moue. Il avait eu du mal à saisir ce que le deuxième préfet lui avait demandé, mais il ne mit pas longtemps à comprendre de lui-même ce qui serait efficace dans cette situation. Enfin, il n'était pas si débile que ça.

Oui bon ok j'arrête. Reste tranquille. Alors. Une inspiration. Deux inspirations. Il pointa le bout du morceau de bois vers le nez de Ludovic. Episkey. Dundundun. Une pause. Cette fois il le pointa vers le torse de son interlocuteur, espérant qu'il ne se foirerait pas. Enfin, il ne pouvait pas se foirer sur des sorts si simples. Revigor !

Le regard du blond était plein d'appréhension. Une lumière chaude aux couleurs de leur maison se diffusa hors de sa baguette et finalement, ses lèvres s'étirèrent en un sourire rassuré. Il s'écarta.

Papam ! Comme un chef ! Tu te sens mieux maintenant ? Viens on s'assied si tu veux ! ... Beeeeh, tu m'as foutu du sang partout, dégueulasse. Tiens, un autre sort puisqu'on en est là. Tergeo.

En espérant que ce soit le dernier sortilège à balancer pour cette journée. Camille s'attendrit, baissant son arme alors qu'il effaçait toute présence de l'odeur métallique qu'il avait sentie précédemment. C'était étrange et pourtant si cocasse de voir son camarade dans un tel état de faiblesse. Jamais il n'aurait cru qu'il le verrait avec une mine si navrante, tout ça à cause d'une potion de genre.
Sans vraiment attendre de réponse, il s'affala contre le mur le plus près et se laissa glisser vers le sol en soupirant. La soirée s'annonçait épuisante.
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Ludovic J. Dave
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Lun 9 Fév - 21:27
« J’en ai marre. » Et que pouvait-il bien ajouter de plus ? « Enfin merci Cam’. » Il y avait eu des bruits, des agitations et des sorts lancés — un Chevalier surexcité puis plus serein. Aussi le blond préfet n’avait rien dit, n’avait pas même bronché — il avait dévisagé le tout d’un air un peu absent ; attendant que tout se calme, tout s’arrête. Et il était là, à présent ; les douleurs passées, les vêtements nettoyés — il était là, oui ; à rejoindre le français à terre. « Cette soirée a tourné en pur enfer, enfin je me demande pourquoi je prends encore la peine de m’étonner après ces sept années passées dans le château. » Soupir bruyant, son épaule vint effleurer celle de la nana à côté de lui — il se sentait à la fois désespéré et complètement blasé. « Entre Halloween et ses potions de transformation, entre les saint valentin qui finissent toujours en catastrophe — entre la fois ou des gamins se sont vus échanger leur corps et. Et bref. Enfin ’te reste du temps pour tout découvrir. A chaque génération son lot de surprises. » Sourire, rire qui hésite à sortir — avorté avant même d’être réellement pensé. « Je bougonne mais au final ça forme de merveilleux souvenirs. Ca nous rend tous un peu plus vivants, ce genre de conneries. On s’énerve, on s’agace — on s’embarrasse puis on finit par éclater de rire. Ca nous tourne nous retourne nous malaxe, nous arrache notre pudeur et nous fait ressortir nos plus infimes parcelles de courage. Même si des fois c’est chiant sur le moment. » Regard en biais. « Comme maintenant — enfin ce soir. Enfin, c’est qu’une question de point de vue ; suffit de regarder à quel point les jaunes s’éclatent ; même les jeunes d’ailleurs. A croire que je deviens un peu trop vieux haha. » Le vieux blond bougon. Le surnom lui allait à merveilles, toujours à grogner et à faire le désabusé. Et pourtant. A bien regarder ce n’était qu’un gamin comme les autres, ayant tendance à se faire exploser des potions au visage ou encore à se démembrer durant les travaux pratiques de sortilèges. Soit. « J’ai une de ces envies d’aller m’enterrer dans mon pieux. » Pause, œil déjà plus vivant ; comme ravivé par l’hypothèse : « Ca te dirait pas, hein ? A la limite on refait un tour pour dire tcahobyebye maiis. » Mais bon, hein. Pas obligatoire du tout hein. « Faut que je récupère mes chaussures aussi. » Quoique il était con de balancer ça à haute voix. Où était sa baguette ? N’essayant pas de fouiller dans des endroits incongrus comme l’avait fait précédemment et sans gêne son cher cadet, Ludovic la trouva dans une poche à moitié dissimulée, à hauteur de rein. Aussi ne tarda-t-il pas à lancer un accio muet qui fit se ramener à vive allure ses euh. Talons.  
Il ne restait plus qu’à prier que les fringues reviennent à leur état d’origine quand eux-mêmes retrouveraient leurs attributs respectifs. Herm.
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