Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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Wild Hogwart - Sandychou (again)

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Emmet F. Weibb
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Ven 23 Mai - 14:35
Enfin, vous êtes sortis, loin de tout ça, et tu peux sourire, Emmet. Sandy est un génie, tu le penses vraiment. Avoir cette idée de lamas pour dissimuler votre fuite, c’était tout simplement… Pfiou. Tu l’aimes vraiment bien, ton petit Gryffondor, tu en oublierais presque vos disputes, vos défauts partagés, sa spontanéité et la façon qu’il a de te faire perdre tout contrôle. En fait, des fois, tu te dis que c’est juste un grand qui se fait passer pour un gamin. Il a un sourire – et quel magnifique sourire ! – de grand, des idées de grand, des bisous de grand qui te laissent sans voix. Sans contrôle, sans voix, tu perds un peu tout ce qui te rend fort… C’est peut-être ça qui fait que tu apprécies autant chaque instant à ses côtés.

Un grand qui se prend pour un enfant, donc… Comme pour confirmer tes idées, ton blond t’effleure le bras, dit une phrase que tu n’as jamais trop eu l’occasion de dire et s’enfuit en courant. D’abord, une réaction très rationnelle te vient. Il est sportif, s’entraîne régulièrement, et a de plus longues jambes. Il n’y a absolument aucune chance que tu le rattrapes, tu ne vois donc pas l’intérêt premier de courir derrière lui. Et puis, tu le vois si heureux de s’aérer et, comme à chaque fois, toute logique t’échappe. Tu regardes autour de toi, vérifiant qu’il n’y a personne – une vieille habitude, maintenant ! – et tu t’élances à sa suite, te fustigeant de ton réflexe idiot.

Bizarrement, même si tu sais que c’est une idée stupide, courir te fait du bien. Tu sens tes poumons qui se remplissent, tu as enfin une excuse pour tes joues rouges, et ça te permet d’évacuer tout le stress du club d’hôtes. Bordel, votre relation est officielle : c’est un sacré poids sur vos épaules. Mais là, tu souris, tu rigoles, tu avances de toute la vitesse de tes petites pattes, essayant désespérément de rattraper Sandy. Sans vraiment de succès. Après quelques minutes à rire et à essayer d’arriver à lui, tu t’arrêtes, le souffle court, les mains sur les genoux.

« STOP, j’en peux plus, t’es trop fort pour moi. »

Tu as mouillé ta chemise, Emmet. D’une main, tu rabats une mèche de cheveux, trempée, vers l’arrière, et tu t’appuies contre l’arbre. Tu te laisses glisser doucement, jusqu’à une position assise vachement plus supportable et puis, une fois Sandy à distance, tu grognes, après avoir enlevé la veste de ton uniforme :

« À ce rythme, tu vas me tuer ! »

Merlin merci, tu ne sens pas mauvais – bénéfice de ta nature de demi-vampire. Par contre, tu as décidément le souffle coupé : la coupe de Quidditch des 4 maisons n’est pas prête d’arriver pour toi !

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Ven 23 Mai - 15:11


C'est toi le Chat.




Tu es heureux.
Tu as déjà oublié Emmet et son horrible club et il y a juste ton Emmet à toi.
Ton homme qui te réserve ses baiser et est juste à toi.

Qui trottine derrière toi.

Tu as eu cinq secondes pour te dire que c'était une idée stupide de jouer à Chat, surtout avec ton frêle petit amant, mais il t'a suivi dans ton jeu et tu as considérablement allongé ta foulée, parce que BON DIEU! Il court vite le bougre.

Tu es heureux.
Un peu plus à chaque fois que tu le vois, que tu es près de lui.
C'est de plus en plus fort, de plus en plus vif, de plus en plus profond.
Ça te prends au tripes et tu crèves de bonheur.

Tu ralentis un peu lorsque tu entends sa foulée décliner et stopper et te retournes vers lui.  

" STOP, j’en peux plus, t’es trop fort pour moi. "

Tu lui adresse un sourire éclatant.
AHA! Tout l'avantage d'être un athlète.
Tu reviens vers lui en trotinnant, tout fier de toi.

" À ce rythme, tu vas me tuer ! "

Tu esquisses ton sourire de mec super sexy et t'agenouilles entre ses jambes.
Tu viens déposer un petit baiser sur le bout de son nez et prends appui sur ses genoux.  

"Si tu dois mourir essoufflé, je m'arrangerais pour que ce soit dans un autre sport Emmet... "

Tu lui sourit plus encore et te retournes, pour venir caler ton dos contre sa poitrine, qui se soulève encore un peu trop vite.
Tu prends garde de ne pas y mettre tout ton poids et tu gémis de bonheur.

Il fait bon et la chaleur de l'ombre est rafraîchissante.
Tu laisses ta main courir le long de la jambe de ton petit Ami.

Petit ami...

"Wah, on est officiellement ensemble maintenant."

Tu ne prends réellement la conscience, vraiment la pleine mesure de l’évènement que maintenant.
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Ven 23 Mai - 15:56
C’est marrant ça. Alors que tu sens le bout de ta vie approcher, que tes poumons semblent vouloir sortir de leur cavité par tous les moyens et que toutes les pores de ta trop pâle peau sont en intense activité de régulation – comprendre, donnent l’impression que tu viens de prendre une douche, petit à petit – Sandy est là, sourire éclatant de Prince Charmant et idées lubriques en tête qui ne participent pas du tout à calmer ton métabolisme. Un autre sport, un autre sport… Quelque part en toi, des images franchement pas nettes tourbillonnent, et des réactions du même acabit arrivent. Mal à l’aise, tu repousses le dos de Sandy avant de te lever en t’exclamant :

« HOU LA LA IL FAIT CHAUD. »

Oui, bon. Tu aimais bien qu’il soit là, entre tes jambes, tu aimais bien toute cette situation, mais… Franchement, quelle idée de te dire des choses comme ça alors que tu essaies de contrôler tes poumons. Et de te toucher les jambes en plus, et d’être dans une position aussi… Rhaaaa, ça n’arrange vraiment pas ton problème de respiration. Plus ou moins volontairement, concentré pour faire disparaître toute évidence de l’effet que Sandy peut te faire, tu ignores sa dernière phrase, pour le moment, en t’aérant tant que possible avec tes mains. Tu as soif en plus, maintenant. Et toujours aussi chaud.

Plus ou moins incapable de réfléchir – t’essouffler sur un autre sport, hein ! – tu utilises ton instinct. Il fait chaud, tu décides donc d’enlever ta chemise aussi, qui va bien vite rejoindre ta veste, en boule sur l’herbe. Et puis, d’un coup de baguette magique, tu lances un accio eau, avant de boire goulument à la bouteille. Ah, ça fait du bien, tu te sens déjà mieux. Une dernière chose… Effrayé à l’idée que la sueur qui te recouvre devienne collante et désagréable pour ton homme – ce genre de choses arrive – tu t’asperges un peu la tête, comme ces moldus cyclistes. Un nettoyage sommaire, mais un nettoyage quand même. Et tu te sens beaucoup mieux. Tu te rapproches donc de ton pauvre Sandy abandonné et, toujours torse nu, tu t’accroupis pour lui dire doucement :

« Ouais, on est officiellement en couple. »

Breaking news. Délicat, tu poses tes lèvres sur les siennes, et l’embrasse avec tendresse. C’est rare que tu prennes ce genre d’initiative, mais tu en avais vraiment envie. Et puis… C’est comme ça après tout, ton instinct t’y a poussé. Un sourire mutin laisse apparaître l’une de tes canines alors que tu dis, l’air faussement interrogatoire :

« Par sport, tu voulais bien dire Quidditch, hein ? »

Un léger rire t’échappe, tu te redresses légèrement… Et réalises bien vite que, dans une pente comme la vôtre, se redresser n’est pas une idée judicieuse. Sans trop comprendre le pourquoi du comment, tu sens ton équilibre s'en aller avec grâce, et c’est sans élégance aucune que ton délicat fessier s’écrase au sol. Juste en face de Sandy. Boulet.

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Ven 23 Mai - 16:22


Quidditch




" HOU LA LA IL FAIT CHAUD. "

Tu le regardes, incrédule, se relever, après t'avoir pousser sans grand ménagement.

Hein...
Qu'est ce qu'il se passe la...

...

Pou... Pourquoi il se déshabille là?
C'est quoi ce délire?

C'est No¨l avant l'heure?
Ou une caméra cachée moldue?

Tu regardes, un peu hagard sa musculature fine et tortueuse, qui se dessine sous la peau, entre os et muscle à vif.

Étrange de voir comme vous êtes opposé, toi et tes muscles imposants, bronzés et halés, et lui, menu et fragile, la peau si blanche qu'on dirait qu'elle scintille au soleil.

Ca te fait penser à cette fiction moldue et des tas de questions idiotes te viennent dans la tête.
Est-ce qu'il dort?
Est-ce qu'il a le même age depuis toujours?

Le Dracula de Coppola se ramène aussi à ton bon souvenir.

Est-ce qu'il peut se changer en loup ou en chauve souris?

" Ouais, on est officiellement en couple. "

Ses lèvres se posent gentiment sur les tiennes et tu as à peine le temps de fermer les yeux que déjà il se retire.
Tu grimace, frustré

"Par sport, tu voulais bien dire Quidditch, hein ?"

Tu t'apprêtes à lui répondre la bêtise qui sort tout droit de plus bas que tes intestins quand tu le vois chuter peu délicatement sur le sol.

Boum.

Tu as envie de te redresser bien vite, trop inquiet, mais la posture dans laquelle il vient de tomber rend les choses bien plus intéressantes...

Tu te penches un peu et attrapes ses chevilles. Tu le tires doucement vers toi et fais passer ses jambes sur les tiennes que tu as croisés en tailleurs.

Tu lui souris et attires son corps contre le tien, avant de lui voler un baiser, plus appuyé que le précédent.

"De quidditch des vestiaires oui..."

Tu mordilles sa lèvres, taquin avant de frotter ton nez au sien.

"Mais je suppose que ce n'est pas parce que tu as rendu ca officiel que je peux tout aussi officiellement déclarer que tu es ma charmante propriété?"

Tu laisses échapper un petit rire, déjà sur de la remontrance qui va suivre et tu noues tes mains pour bloquer ses reins, entre tes cuisses croisées, tandis que ton visage se niche dans son cou.

Les mouettes de Nemo te reviennent aussi en tête.
Tout cela n'est pas très glamour...
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Ven 23 Mai - 16:51
Il ne fait pas ça, non, non, non… Eh bien si Emmet, si. Sandy vient de t’attraper les chevilles et de te tirer vers lui, délicatement, jusqu’à ce que tu lui montes purement et simplement dessus. Cette situation n’arrange vraiment pas ton affaire, heureusement que tu t’es un peu calmé… En fait, cette façon qu’il a eu de te tirer vers lui, sans vraiment te laisser le choix, sans te forcer non plus, fait battre ton cœur vraiment plus vite. On ne peut pas dire le contraire : tu adores ça, tu voudrais qu’il soit comme ça tout le temps. Et ça tombe bien, parce qu’il est comme ça tout le temps.

Il revient t’embrasser, et tu as envie de lui montrer toute la fougue qu’il vient de déclencher à toi, par cette rude façon qu’il a eu de t’amener dans cette position. Mais il ne semble pas comprendre ton ardeur, et se détache bien trop vite… Chacun son tour d’être frustré. Tu t’apprêtes à lui offrir une grimace boudeuse – mimique que tu lui as prise, d’ailleurs – mais ce qu’il te dit modifie immédiatement ton visage, et tu sens le rouge qui te monte aux joues. Encore. Sandy est vraiment trop méchant avec ton petit cœur fragile.

Il mordille ta lèvre – ça te rend fou, tu rêverais de faire pareil avec les siennes, pour qu’il réalise comme c’est bien, mais tu prendrais trop le risque de le blesser. Et il vient ensuite frotter son nez au tien, petit rituel inuit que vous avez instauré au beau milieu de l’Angleterre. Petit rituel qui ne te laisse pas non plus de marbre. Décidément, tu vas vraiment finir par lui sauter dessus. Il te parle de propriété, et tu te dis que c’est le moment de lui faire réaliser qui appartient à qui. Mais avant que tu aies eu le temps de faire quoi que ce soit, il rit, et vient nicher sa tête dans ton cou, tendre.

C’est pas de tendresse, dont tu as envie, c’est de passion. Peu délicat, mais pas brusque pour autant, tu le détaches, tu le pousses, tu le forces presque à s’allonger par terre, sous toi, comme il t’a forcé à venir sur lui. Et puis, tu te mets à genoux, avant de pencher la tête au-dessus de la sienne. Presque menaçant, tu sors tes dents, faïence vengeresse et, tu les poses, délicatement, sur son cou. Tu ne mords pas, tu sais déjà ce qui arriverait. Forcer de garder ton self contrôle, ce qui n’est franchement pas aisé, tu te redresses, le regardes et lui dis, un brin ironique :

« Qui appartient à qui ? »

Et puis, tu viens l’embrasser, avec passion, un vrai beau baiser comme dans les films. Un vrai beau baiser dans l’arbre du parc. Tu as l’impression de sentir tes dents frémir, mais tu résistes, ignores l’envie que tu as de donner un joli coup de dents. Tu te demandes si c’est normal, ce goût prononcé que tu as pour le sang, âcre. Après tout, Gertrude est végétarienne… Peut-être que si tu n’avais pas été demi-vampire, tu aurais quand même aimé ça ? Penser à Gertrude te refroidit automatiquement, et tu mets fin au baiser. C’est étrange, d’ailleurs, de penser à une personne en en embrassant une autre. Et ça t’a un peu coupé dans ton élan… Toi aussi, tu es possessif.
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Ven 23 Mai - 17:42


another one bite the dust




Ses mains fines sur ton torses puissant te font sentir bêtement puissant, jusqu'à ce que l'impulsion, bien plus fort que prévue ne te face t'allonger.
Tu aimes bien cette fausse douceur chez Emmet.
Il cache tellement bien son jeu...

Et il vient t'en donner une preuve supplémentaire lorsque tu sens ses jambes se positionner autrement.

Tu regardes son visage fin descendre perceptiblement et aperçoit l'éclat plus pâle encore que sa peau, de ses dents, entre deux mèches de cheveux sombres.

Tu frémis de tout ton entre et les sent s'appuyer délicatement sur ton cou, là ou tu devines ta jugulaire, qui pauvre d'elle s'affole et accélère son débit de sang.

Là ou une petite courses ne t'as pas essoufflé le moins du monde, tu sens souffle s'affoler et quelque chose de trop chaud remue dans ton bas ventre.

Il se redresse à peine, pour pouvoir revenir face à toi.

" Qui appartient à qui ?"

Son regard à changé.
Le baiser qui suis aussi.
La délicatesse s'est faite maté par la passion et tu savoure les goûts qui arrive sur ta langue.

Tu es trop estomaqué par cette soudaine prise en main pour faire quoique ce soit et tes bras reste ballants, le long de ton corps, tandis qeu tu lui laisse tout le contrôle pour le baiser.

Mais comme tout les autres, il se finit bien trop vite, et les yeux d'Emmet on encore changé.

" Ce... Ca va pas? "

Tu le regardes, paniqué et tu as l'impression d'avoir fait une bêtise.
Tu réfléchis vite...

"Je t'appartiens totalement, tu sais. "

Tu ne sais pas trop si c'est ça qui pose problème, mais bon, en tout cas, tu lui dis.
Mais visiblement, ce n'est pas ca.

"Arf. Bon... J'ai fait quelque chose qu'il ne fallait pas."

Tu te fais tout petit entre ses bras et luis lance ton pauvre regard de chien battu.
Patapé...

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Sam 24 Mai - 0:38
Tu ne sais pas trop quoi dire Emmet, il te fait un peu pitié comme ça, avec ses yeux de chiot. Tu as envie de l’embrasser, de le rassurer, mais tu sais que tu as besoin qu’il te rassure aussi, quelque part. Comment expliquer la pointe désagréable que tu as senti dans ton ventre, le goût amer qui est venu remplir ta bouche, étouffer ta gorge, quand tu as vu la façon dont il parlait à Trudy ? Tu es quelqu’un de rationnel, Emmet, normalement. Tu sais que tout ça n’a pas de raison d’être, que c’est juste un manque d’habitude à l’attachement, une adoration qui se transforme en peur parce que, après tout, qui pourrait ne pas aimer Sandy ? Tu n’es même plus capable de concevoir ça, alors que ton cœur bat si fort dans ta poitrine quand tu le croises, et que tes joues se teintent de rose quand tu entends sa voix.

Doucement, tu poses sa main sur sa tête. Un peu pataud, un peu maladroit, dans une mimique qui se veut rassurante mais qui n’a rien de vraiment transcendant non plus. C’est une façon pour toi de gagner du temps, de trouver quoi dire, d’occuper ta réflexion. Pour qu’il ne s’ennuie pas, alors que ça tourne à toute vitesse, dans ta petite tête de pré-pubère. Machinalement, ta main descend sur ta joue, et tu la suis du regard. Tu ouvres la bouche une première fois, très concentré sur ta mimine, la refermes. Et puis, tu te décides enfin à plonger tes yeux dans les siens, et tu dis, de but en blanc, incapable de trouver mieux :

« Est-ce que t’es avec moi parce que je suis demi-vampire ? »

Est-ce que tu as un certain goût pour le danger ? Est-ce que tu fais un fétichisme vampirique ? Est-ce que tu joues avec moi ? Est-ce que tu es sérieux avec moi ? Est-ce que tu arrives à comprendre ce qui m’arrive ? Tu as envie de demander tout ça Emmet, sans jamais trop oser. Tu n’es pas capable d’expliquer toutes tes sensations : la jalousie, la possessivité, le délire, la perte de contrôle, l’inquiétude, l’attention, la tendresse, la passion… Tout ça, ça fait bien longtemps que tu l’as oublié, et pourtant, tout est toujours là, classé quelque part au milieu de tes réflexes d’humain. Tu vois son visage et tu te reprends, un peu précipité :

« Non mais enfin, tu as Trud… Gertrude, c’est une demi-vampire aussi, et vous avez l’air très proches, alors je me demandais si… »


Si quoi, au juste ? Tu n’es même pas capable de finir ta phrase, même pas capable  de savoir ce que tu te demandes. Est-ce qu’il est sorti avec Gertrude, avant ? Est-ce qu’il y a beaucoup de gens comme ça, avec qui il est aussi proche ? Est-ce que être jaloux, c’est si mal que ça ? Est-ce qu’il a le droit d’exiger de lui des choses qu’il ne ferait pas soi-même ? Est-ce que… Rhaaa, la vie est parfois bien difficile, quand on a 15 ans.

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Sam 24 Mai - 13:13


Vampire




Il s'est égaré.
Il n'est plus avec toi.

Ses yeux sont perdus, loin derrière toi et tu pourrais presque entendre les rouages complexes de son intellect s'enclencher.
Tu le regardes, fasciné.

Et puis, cette journée doit vraiment être spéciale, car il vient poser sa main sur ton front.
Doucement.
Tu pourrais presque te demander si elle est bien là, tant elle est légère. Mais tu l'a vu et elle glisse sur ta joue.

C'est agréable.
Agréable et innatendu.

Tu te demandes ce qu'il se passe aujourd'hui.
Il vous officialise, t'embrasse comme un damné et soudainement, le revoilà mouton gentil dans les griffes du loup.

Sa bouche s'ouvre sur un début de phrase qu'il refoule.

Tu attends un peu.

Emmet n'est pas quelqu'un qu'on brusque lorsqu'il est dans ses pensées. Tu l'as appris bien vite.

Et la phrase finit par venir...

" Est-ce que t’es avec moi parce que je suis demi-vampire ?"

Ça, tu ne t'y attendais pas.

Tu lui lances un regard interrogateur.
Tu ne comprends pas vraiment.

C'est quoi cette question...?

" Non mais enfin, tu as Trud… Gertrude, c’est une demi-vampire aussi, et vous avez l’air très proches, alors je me demandais si…  "

Ah.
Tu le regardes, émerveillé par sa toute jeune naïveté et son embarras manifeste.

Tu pourrais te sentir vexé de cette nouvelle presque mise à l'épreuve. Mais tu le trouves adorable, dans sa façon de présenter les choses.

Alors tu reviens, d'un petit coup de tête, caler sa paume dans le creux de ta pommette.

Tu fermes les yeux, parce qu'il faut que tu te concentres. Et le noir, bien que tu en ait peur, te mets toujours dans une atmosphère propice pour les grandes décisions.

Tu cherches soigneusement tes mots.
Et puis, sans que tu ne t'en rende compte, ils sortent tous seuls.

" Je suis avec toi parce que tu es Emmet... Je suis avec toi, parce que tu es juste fantastique et que je chéris plus que tout les moments que je passe avec toi. "

Tu gardes les yeux clos et ta main court sur ses hanches.

Cette journée est importante.

"Et, pour Trudy... Il ne s'est jamais rien passé. C'est ma meilleure amie, et juste une coïncidence que vous soyez tous les deux de la même ... race."

Tu n'es pas sur du mot. Alors tu ouvres les yeux pour guetter sa réaction.
Mais bon, comme souvent tu perds ton sang froid.

Alors tu glisses ta main libre derrière sa nuque et l'attires à toi.
Tu l'arrêtes à quelque centimètres de tes lèvres.

C'est le moment de dire quelque chose de grand Sandy.

"Je suis avec toi parce que je t'aime Emmet."

Tu reprends le mouvement de base, sans lui laisser le temps de réagir. Vos lèvres se rencontrent et l'instant est comme toujours magique.

C'est lent et doux, parce que le moment est quand même solennel.
Alors tu prends ton temps, tu savoures chaque caresse de cette bouche que tu embrases et tu bois son souffle.
Tu ne le lâches pas et le serre de plus en plus fort contre toi, à mesure que tu animalises le baiser.
Ta main se plaque au creux de ses reins et tu sens à moitié que tu appuies bien trop fort sur sa nuque.
Tu remontes dans ses cheveux et garde sa bouche tout près de la tienne.
Tu lui laisses le temps d'une inspiration et plonge ton regard dans le sien, si près de tes yeux un peu embué et fous...
Tu souris...

"Oups... "

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Sam 24 Mai - 19:14
Sandy. Est. Juste. Trop. Adorable. Il n’y a pas d’autres mots pour décrire ce que tu ressens, Emmet. Ton cœur bat vite, et tu réalises à quel point tu as pu être idiot. Evidemment que Trudy n’est qu’une amie : les gens normaux sont tactiles avec leurs amis, non ? Tout ça est absolument normal. Et puis, vu comme il est avec toi, c’est évident qu’il n’a qu’un seul amoureux, et que cet amoureux porte ton nom. Alors, à sa première phrase, tu sens les larmes qui montent dans tes yeux bruns-rouge : des larmes qui n’ont rien de larmes de tristesse, ou de joie. Ce sont des larmes de soulagement, de colère contre toi-même. Il a les yeux fermés, il ne peut pas voir, mais tu sais qu’il les rouvrira bien vite, alors tu déglutis et tu fais tout ton possible pour qu’elles refluent.

Sans trop de succès : quand il ouvre ses paupières, tes yeux sont toujours humides, mais bon. Avec un peu de chance, il n’a rien remarqué. Et puis, il te dit qu’il t’aime, et la révélation te noue la gorge et le ventre. Tu as envie d’y répondre, parce que tu commences à comprendre la nature de tes sentiments. De vos sentiments. Mais tu hésites un peu, et il ne t’en laisse pas le temps, il vient prendre tes lèvres, délicat d’abord, puis de plus en plus passionné. Et toi, tu réponds de la même façon, tu le suis, tu t’abandonnes à lui, tu refermes tes bras frêles autour de lui pour l’amener contre toi, tu l’embrasses avec vigueur. Comme s’il pouvait sentir dans tes gestes ce que tu penses vraiment de lui, ce que tu ressens pour lui. Comme si les mots n’avaient même plus de sens.

Il est presque brutal dans son étreinte, et ça te plaît, ça t’engage à donner plus, plus grand, plus fort. Tu ne prends même pas le temps de respirer, et tu ne le réalises que quand il s’arrête. Tes joues sont rouges, encore : trop de sang, plus de souffle, plus d’oxygène, trop de sentiments. Tu inspires brutalement, les yeux brillants, de joie cette fois, et d’envie. Quelque part en toi, tu sais que votre relation finira mal, que vous risquez de mettre les points de votre maison en péril, si vous continuez à vous embrasser comme ça. Mais tu t’en fous. Papa avait raison : l’amour, ça vous fait sortir du droit chemin.

Et puis, il dit oups, en souriant, tout proche, si proche de toi. Cette phrase te fait retomber sur terre, quitter le petit nuage de sentiments et de bien-être sur lequel tu as trop pris l’habitude de planer. Tu souris doucement, sans prendre garde à tes dents : Sandy les connaît, de toutes façons, il sait qu’elles sont là. Il ne le sait que trop bien. Tu n’as jamais aussi peu regretté un enchantement te forçant à faire des choses contre ton gré. Tu soupires de bonheur et de satisfaction et, un peu moqueur, tu souffles :

« Pas la peine d’en faire trop non plus hein. »


Tu aurais pu lui dire je t’aime, mais ça aurait été trop sérieux, trop cérémonial. Tu n’as pas envie que vous deveniez l’un de ces couples qu’on imagine déjà mariés. Tu veux être dans cette relation où on se moque, où on rigole, où tendresse et passion se mélangent avec dextérité. Tu poses tes mains sur l’herbe, réalise que tu es toujours sur lui – une position étrange, que vous n’avez que rarement, et un petit rire t’échappe. Un rire nerveux, un rire joyeux, un rire heureux… Un rire amoureux. Et puis, tu ramènes tes yeux sur lui, le souffle toujours un peu trop court, un peu trop rapide, et tu dis :

« Je pensais être dangereux pour toi, mais en fait, tu me coupes tellement souvent le souffle que je ferai un arrêt cardiaque avant d’avoir pu te vider. »

De ton sang, s’entend. Tu souris, Emmet. C’est si bon d’être heureux.


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Sam 24 Mai - 21:08


you found me



" Pas la peine d’en faire trop non plus hein. "

Contrairement a ce que l'on pourrait penser, tu es un grand romantique Sandy.
Papa t'as éduqué comme un gentleman et maman... Maman... Bref.

Alors tu te jures qu'un jour, tu apprendras à Emmet qu'il y a des moments ou ce n'est pas nécessaire de parler. Et qu'il faut juste être délicat et embrasser son amoureux... Ca suffit largement.

" Je pensais être dangereux pour toi, mais en fait, tu me coupes tellement souvent le souffle que je ferai un arrêt cardiaque avant d’avoir pu te vider.  "

Sourcil en élévation.
Activation des neurones après leur bug soudain.
Kékiladi?

Ah...
Il parle de son sang.
Bien évidemment.
Tu pousses un gros soupir et roule des yeux.

Décidément...
Tu lui souris amusé, en prenant ton air d'enfant sage.

Pas ta faute hein...

" Ne fais pas l'innocent."

Ta main s'égare dans ses cheveux et les ébouriffent gentiment.
Il t'a quasiment laisser pour mort dans les toilettes pour garçons...

"Tu es bien plus dangereux que moi."

Tu t’approches de lui rapidement et lui vole un baiser.

" Mais je persiste. Tu es à moi. Tu m'appartiens. "

Du bout des doigts, tu écartes le col de sa chemise et appuie sur sa jugulaire.

" Je laisserais peut être ma marque un de ces quatre ici. "

Tu le considères gravement.
T'es comme un chien, sauf que tu vas éviter de uriner dessus quand même.
Tu te redresses un peu.

" Ou peut être ailleurs... Qui sait. "

Tu déposes un énième baiser sur l'angle de sa mâchoire.


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Sam 24 Mai - 21:54
Tu ne pensais pas être un mec franchement romantique, Emmet, tu ne l’aurais jamais cru. C’était pas ton genre de faire ton Icarus, pas ton genre de sourire, de dire des trucs stupides et de regarder avec plaisir les filles – ou les mecs ! – se pâmer devant tes yeux… Enfin, si, t’as toujours bien aimé regarder les gens se pâmer devant toi, mais tu as toujours utilisé ton corps et tes silences plus que tes mots, pour ça. Pourtant, pour Sandy, tu as envie d’évoluer, de faire quelque chose de super mignon, d’adorable, et cette chose stupide est sur le bord de tes lèvres. Tu vas probablement le dire, même si ça fait un peu con. Parce que, quelque part, tu le penses vraiment. Alors, tu prends sa main, tu la poses sur ton torse, juste au-dessus de ton cœur, et tu dis doucement :

« Tu as déjà laissé ta marque ici… »

C’est ta façon à toi de dire je t’aime, en attendant le moment où tu en seras vraiment capable. Vous êtes si proches, tes yeux plongés dans les siens… Et puis, tu réalises à quel point le moment est solennel, et ça te fout clairement mal à l’aise. Franchement, qui dit ce genre de choses de nos jours ? Lentement, tu déglutis et, comme souvent, ton visage change. Mi-moqueur, mi séducteur, tu te recules doucement, plein d’envie, et tu dis gaiement, tout sourire :

« Mais si tu veux laisser ta marque ici, tu peux ! »

Tu montres ton cou, penches ta tête vers l’arrière, lui offres comme un cadeau… Et puis, tu te redresses, l’attires vers toi, le fait basculer. Oui Emmet, tu es bien mieux comme ça, sous lui, écrasé par son poids et l’importance qu’il a pour toi. Tu aimes bien te sentir dominé, comme ça : ça change un peu. Et le changement, c’est ton moteur de vie. Tu prends un air désolé, et tu demandes, plein de défi, sans jamais te rendre compte à quel point ce que tu dis peut-être interprété :

« À moins que tu ne sois pas assez bien équipé pour me faire du bien ? »


Franchement, Emmet. Tu laisses tomber ta tête sur l’herbe, presque brutalement. Ton regard est brûlant de défi et d’envie. Tes yeux sont plongés dans les siens. Ils demandent. Et bien vite, provocant, tu finis par lui dire ce que tu veux, par lui dire ce qu’il doit faire… Si seulement il y arrive :

« Mords-moi… »

Et de nouveau, tu laisses ta tête partir vers l’arrière, libérant ton cou pour ses dents chétives, ses dents humaines. Tu es joueur, Emmet. Tu as envie de savoir ce que ça fait, toi aussi. Tu as envie qu’il te blesse pour ne plus te sentir coupable. Et puis, quelque part en toi, tu sais que tu aimeras ça.
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Sam 24 Mai - 23:15


Canines




Il y a ta main sur son coeur.
Il y a une marque. Un peu de toi en lui apparemment.

Tu aurais bien envie de répondre une connerie sur autre chose qui pourrais laisser une marque, parce que tu sens que ce n'est pas dans les habitudes de ton homme de faire ça.
Alors tu va attendre patiemment qu'il te donne le feu vert.

En attendant, tu sens à peine les battements de son coeur.

C'est étrange.
Tu sais que toi, à peine un doigt posé, bien loin de ton palpitant, on sent les impulsions de tes veines.

Chez Emmet, c'est beaucoup plus tenu et sous le tissu de sa fine chemise, tu sens à peine une pulsion.

Mais tu n'en a cure, parce qu'Emmet à des yeux beaucoup plus expressifs qu'il ne pense. Enfin. Toi, tu parviens à en saisir les nuances parfois.

D'ailleurs, la lueur vient de changer.
Il y a une étincelle qui se balade dans les pupilles...

" Mais si tu veux laisser ta marque ici, tu peux ! "

Ses doigts s'égarent là ou les siens sont précédemment passés et tu considère son air lascif.

Dieu te garde... Tu ne vas pas te retenir bien longtemps s'il continue à ainsi te pousser dans tes faibles retranchements .

Tu le sens qui bascule en arrière et il t'entraîne avec lui.
Tu souris, tandis que tu le surplombes.
Tes poings et tes coudes s'enfoncent un peu dans la terre molle, entre les touffes d'herbes et ça chatouille ta peau sensible.

" À moins que tu ne sois pas assez bien équipé pour me faire du bien ? "

Tu l'observes. Intrigué par son manège.

Allons allons Emmet.
Sandy passe sa vie à répondre à des défis...
Et un si bien présenté, si charmant, qui se glisse tout menu entre ses griffes, il ne le refusera pour rien au monde...

Tu entends ses lèvres s'ouvrir une dernière fois sur son ordre.

Ton regard sur lui est doux, la ou tu sens presque les flammes du sien, qui te demandes de venir l'allumer encore un peu plus.

Tes yeux se posent sur son cou.
Il est si fin.
Tu es presque sur que d'une main tu en fait le tour.
Il y a tout un monde derrière. Un monde bleu violine, qui forme un labyrinthe veineux, rendu limpide par sa peau trop blanche.

Du bout des phalanges, tu caresses cette peau si fine, qui se couvre d'une légère chair de poule.

Tu sais que si les vampires mordent la jugulaire en priorité, c'est une question pratique, mais tu te demandes s'il n'y a pas de l’esthétique non plus.
En tout cas, le cou fin d'Emmet te laisse un peu sur le carreau.
Tu continues de balader tes doigts sur lui, te demandant ce qu'il faut faire.

Emmet ne te donne pas souvent des ordres.
Alors peut être que tu devrais y aller.
Essayer de percer cette peau, comme lui l'a fait avec la tienne.
C'est ce qu'il veut.

Mais toi Sandy...
Est-ce que tu es capable de le blesser?
Comme ca, de sang-froid.

De froisser cette peau qui s'offrirait à tes lèvres?

Tu embrasses le coin de sa bouche, l'angle de son menton et la ligne de sa mâchoire. Tu suis docilement le chemin du mince tendon qui se finit sur la clavicule. Tu la longes avant de revenir vers cet endroit, ou le battement est à peine plus fort sous tes lèvres joueuses, qui clairsement encore son cou de baiser.
Petit à petit, la douceur de tes lèvres se relève sur tes dents un peu inquisitrices. Tu mordilles gentiment cet espace immaculé, accentuant toujours un peu plus la pression.

Et puis, tu finit par ouvrir plus grand ta mâchoire. Tes dents se posent un peu au hasard et racle à peine sa peau avant de se refermer dans le vide.

Tu remontes doucement, sans le toucher, pour de nouveau que vous vous retrouviez face à face.

" Comme si j'allais t'abîmer... "

Tu plonges ton regard dans le sien et mordille une de ses lèvres, tandis que tu pouce, tu retrace le contour de son arcade.

Il est bien trop beau pour ca.
Même de ta marque, tu aurais l'impression de le souiller, d'un certain côté.

"Il m'en faudra un peu plus pour que je flanche..."

A ton tour de le défier...
Mais c'est dit à demi mot.
Tu n'as vraiment pas envie de lui faire mal. Et tu ne lui ne veux pas d'avoir perdu le contrôle.
Après tout, toi, tu le sens encore maintenant qui s'échappe de ton emprise, lorsque les yeux d'Emmet t'observe comme il le fait maintenant, lorsque tu dévore ses lèvres des yeux, ou juste que la brise emporte son odeur.
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Lun 26 Mai - 3:01
Sandy te rend fou. Petit à petit, il s’immisce dans ton esprit, change ta façon de penser, ta façon d’agir, ta façon d’être… En fait, chaque seconde passée à ses côtés change irrémédiablement ta personnalité. Tu t’adoucis, tu gagnes en patience, tu commences à comprendre pourquoi les gens réagissent, comment ils pensent. Tu avais déjà analysé tout ça, mais sans jamais le vivre, comme un Dalek cherchant à connaître le mode de pensée humain. Tu n’as jamais été autre chose qu’une machine, Emmet, mais pour la première fois depuis des années, tu comprends enfin ce que c’est, de vivre. Et c’est franchement bon.

Sous ton dos, la terre est fraîche. L’herbe s’est pliée, et tu sens toutes les petites aspérités du sol, sans vraiment réaliser qu’elles sont là. Parce que ton esprit n’est pas à l’observation de détails aussi inutiles. Non, ton esprit est concentré sur ce qu’il y a au-dessus de toi : Sandy. Il est là, il te regarde, et tu vois ses yeux qui pétillent d’envie. Son grain de peau te semble exemplaire, son visage paraît parfaitement symétrique, sa bouche, rosée, semble crier ton nom. Elle t’appelle. Et tu n’oses même plus respirer, tant tu as peur de faire fuir tout ça.

Quand ses doigts effleurent la peau de ton cou, tu resserres tes poings autour de ces brins d’herbe, pour lesquels tu n’as aucun respect. Tu sens tes phalanges qui blanchissent, tant ton corps est tendu. Il t’électrise. Quand sa bouche se pose sur la tienne, caresse divine, tu sens ton être entier tendre vers lui. Tu donnerais tout pour qu’elle se pose là un peu plus longtemps, pour qu’elle s’écrase contre la tienne, pour que vos langues se lient dans le plus délicat et le plus délicieux des ballets. Pourtant, cruel amant, il se retire, te laissant languissant sous son poids. Ton désir a rarement été si haut.

Et voilà que ses lèvres reviennent, papillonnent sur ta peau comme si elle n’était qu’une délicate fleur. Elles se posent, repartent, volètent gaiement. Ta mâchoire, ton cou, ta clavicule. Chaque nouveau baiser est une nouvelle pointe de désir, chaque moment durant lequel tu sens son souffle est une source d’excitation. Soudainement, ta respiration fonctionne de nouveau, bien trop fort, bien trop rapide, comme une demande pour toujours plus. Vas y, Sandy, embrasse-le encore, il ne demande que ça, tendu comme si sa vie était en jeu.

Enfin, il revient sur ton cou, et tu sens ses dents. Elles sont si petites, si chétives, elles te font l’effet de ces couteaux en plastique qu’on donne aux enfants pour leur faire plaisir. Pourtant, leurs caresses abîment ta peau et, quelque part en toi, quelque chose d’animal renaît de nouveau, menace de sortir. Tu le contrôles. Tu arrives, petit à petit, à calmer la bête, à contrôler tes pulsions sauvages de demi-vampire. Et puis, sa bouche s’ouvre plus grand encore, ton corps s’arc-boute de lui-même, réflexe corporel pour te préparer à recevoir ce que tu désires avec tant d’excitation. Et le voilà qui s’échappe, te laissant sur une touche tenace d’excitation.

Tes yeux brillent comme ceux d’un chat en chasse. Il revient vers toi, à ton niveau, et tu peux croiser son propre regard. Il est avide, tu sens qu’il se contrôle, lui aussi, et quand il vient mordiller tes lèvres, tu n’en peux plus, tu n’y tiens plus. Ta respiration est franchement anormalement rapide. Tu l’écoutes, et cet ultime défi est celui de trop. Non, Emmet, tu n’arrives pas encore à te contrôler pleinement. Sans prévenir, tu relèves la tête, vient lier tes lèvres aux siennes, libères tes bras pour attraper sa nuque. Tes abdos ne sont pas aussi forts que les siens et, bien vite, tu retombes, l’entraînes avec toi, manquant de découper sa bouche fragile sur tes mortelles canines.

Il n’y a pas de sang, et pourtant, tu sens que ça dégénère. Tu as toujours envie de plus, avec lui, tu ne peux pas le contrôler. Un grondement t’échappe, tandis que tu l’éjectes brutalement, que tu le repousses de tes mains. Cette fois, sa lèvre est coupée, tu sens le goût acre sur ta langue. Tu le tiens loin de toi, animal rendu fou par l’appel de la chasse, et tu colles ton dos au sol, comme si tu pouvais t’enfoncer dedans pour t’enfuir. Loin de ce délicieux gibier dans lequel tu n’as pas le droit de planter tes crocs, sous peine d’une terrible punition. Ton regard le dévore.

Tu restes ainsi quelques secondes, quelques minutes peut-être et, enfin, ton souffle se calme un peu, l’éclat de tes yeux de chat s’éteint. Tu vois de nouveau clair, tu peux de nouveau réfléchir. Tu fermes doucement tes paupières, quelques secondes. Tu te détestes, de ne pas pouvoir te contrôler plus que ça. Tu acceptes enfin d’enlever tes mains de son torse – il est plus habillé que toi, pour une fois ! – et les pose au sol. Et puis tu demandes, dans un murmure :

« Excuse-moi… »

Tu t’en veux toujours, quand tu fais ça, et même si tu te contiens de mieux en mieux, c’est difficile pour toi, Emmet. Il faut que tu limites ton désir pour éviter ce genre de problèmes. Tu dois fait attention. Attention chaque fois que tu es avec lui. Enfin, tu rouvres tes yeux bruns aux étranges reflets, et tu réalises qu’il saigne. Tu serres encore plus les poings – parce que tu t’en veux, parce que tu le veux – et tu demandes, encore une fois :

« Je ne t’ai pas fait trop mal ? »

Tu dis ça trop souvent, Emmet, tu le sais. Et ça te tue de savoir que tu peux blesser cet homme merveilleux comme ça, en une seconde… Et qu’il te faudrait à peine plus pour le tuer, si jamais un jour tu venais à perdre le contrôle pour de bon. Être un demi-vampire fait parfois vivre intensément…

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Lun 26 Mai - 18:01


Contrôle




La douleur te surprend, dans le baiser.  
Petit regard étonné.
Et puis il te repousse, avec cette poigne qui te surprend toujours.

Son regard te semble bien plus animal que les fois précédentes et tu serais presque tenté de sourire.
Ca, c'est ce que tu attendais en somme.
Le summum du challenge.
Il reste quelque secondes, que tu as au final tort de lui offre, à tenter de contrôler le ballet de sa cage thoracique. Ses mains se desserrent enfin et il te laisse de nouveau le champ libre.

" Excuse-moi…  "

Comme si tu allais lui en vouloir.

" Je ne t’ai pas fait trop mal ?  "

Et tu craques.

Cette inquiétude dans la voix, et ce petit air de reproche, au fond des yeux.
Tu as l'impression que la scène se passe au ralenti et tu plonges sur lui, dans un gémissement doux.

Tu t'empares de sa bouche, sans cérémonie, sans te soucier du goût du sang qui va passer, sans savoir si c'est ce qu'il veut ou non.
Tu l'écrases de tout ton poids, pour l'empêcher de te repousser cette fois et agrippes une mèche épaisse de ses cheveux.

Au final, tu ne sais pas ce qui t'a excité. Ce côté trop brusque, trop animal qu'il a tout en cherchant lui même à se mettre en cage, ou bien cette part trop douce et soucieuse de toi qu'il manifeste après ses "bêtises".

Tu fais descendre ta bouche et mord cette infime parcelle, entre cou et nuque. Pas suffisamment fort pour percer la peau, mais suffisamment pour laisser le cachet de tes dents marqué sur sa peau.

Tu glisses doucement et réitère l'opération sur son épaule droite et sous la clavicule, par deux reprises.

Tu remontes doucement et une dernière fois, entre l'oreille et la mâchoire, tu imprimes une minuscule tache rouge.

Tu es essoufflé lorsque tu atteins de nouveau sa bouche, rendu un peu trop fou par un désir que tu n'as pas non plus contrôler.

Tu reprends ses lèvres une dernière fois avant de te redresser et admirer ton oeuvre...
Les constellations carmines font échos aux reflets de ses yeux.

Tu lui accordes ton sourire de carnassier.

" Le rouge te sied au teint...  "
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Lun 26 Mai - 20:40
Sandy craque, tu le vois dans ses yeux de jeune chien fou. Et quelque part, ça t’effraie, parce que tu sais qu’il ne sera pas prudent, parce que tu sais qu’il va – encore – tester tes limites et que, vu ton état, tu n’es pas sûr d’y résister. Tu serres les dents, tendu, et c’est presque sans surprise que tu le vois s’approcher de ta bouche, en t’écrasant. Ton corps est inerte, et c’est tant mieux, parce qu’il se force un passage entre tes lèvres, et que le goût du sang te rend fou. Ton corps se tend, belliqueux, mais tu n’es qu’un demi-vampire, tu n’as pas de force surhumaine… Et il te tient bien au sol.

Tes yeux roulent alors qu’il vient embrasser ta gorge. Tu sens son poids qui bloque ton corps, qui empêche toute tentative de lutte. Tu te sens si faible, Emmet, et l’excitation en profite pour se frayer un chemin. Ton corps produit plus d’hormones qu’il ne l’a jamais faible, et chaque pore de ta peau suinte ton obsession et ton excitation. Tu aimes, Weibb, tu aimes, tu vis. Quand ses dents se referment, tu sens la douleur, et ça te fait sursauter. Ses petites dents inoffensives te font mal, et savoir qu’il peut te blesser aussi, qu’il peut se défendre, te rassure un peu. Alors, tu te laisses un peu plus aller.

Soudainement, ton corps se détend et tu acceptes sa domination, comme l’aurait fait un animal. Tu laisses ses dents se refermer sur ta peau, et un gémissement t’échappe à chaque nouveau coup de mâchoire. Tu fermes tes yeux, soumis. Tu attends qu’il finisse, et tu aimes cette attente. Le goût du sang est toujours là, dans ta bouche, et ça te fait saliver. Sandy est vraiment délicieux. Ta respiration s’accélère à chaque seconde un peu plus, mais tu ne bouges pas, comme si tu étais hors de ton corps, comme si tu observais la scène, n’en ressentant que les bons côtés.

Et puis, il revient t’embrasser, t’obligeant à revenir, et tu réponds avec une ardeur nouvelle, avec un désir nouveau, opportun. Tu sens ta peau qui s’embrase, et tu sais que demain, toutes ces marques seront là, ancrées sur toi. Jamais tu n’aurais pensé apprécier ce genre de choses, jamais. Et pourtant, savoir que Sandy t’a marqué te rend heureux. Tu as envie de lui rendre la pareille. Le goût du sang te rend fou. Tu gémis de nouveau, sans même le réaliser, comme un drogué en manque de came. Encore Sandy, encore, pourquoi t’éloignes-tu ? Tu rouvres tes yeux : tes pupilles sont incroyablement dilatées. Ça te brûle la rétine. Vampire.

Et il parle, et ses mots doux glissent dans ton oreille. Enfin doux… Il a un sourire de prédateur, et ça remet ta partie animale en place. Il est l’alpha dans votre couple, tu tâcheras de te le rappeler. Pourtant, tu te redresses brusquement, pour mettre ton visage à quelques centimètres du sien. L’odeur du sang fait frémir tes narines, mais tu as trouvé ton contrôle. Tu le regardes juste, tes yeux dans les siens, retenant l’agressivité qui fait ta nature. Tu te testes, Emmet. Et c’est délicieux.

« Tu. »

Tu frissonnes tellement que tu n’arrives plus à parler. Ton corps entier est en état d’alerte. Tu inspires lentement. Tu ne sais même pas quoi lui dire. Alors, quand enfin tes dents se desserrent, tes mâchoires se relâchent et ta langue se délie, tu préfères oublier. Parler d’autres choses, parce que tu n’es pas sûr, encore, que ce que tu as en toi acceptera de rester bêta encore longtemps. Alors, tu dis, d’une voix rendue rauque par le désir :

« C’était une bonne idée. Les alpagas. »

Stupide et hors contexte. Mais tu n’en peux plus, tu sens que tu arrives au bout de tes forces. Sandy, il faudra faire preuve de force pour domestiquer un animal comme Emmet. De force et de patience. Mais à coup de récompenses et de punitions, on arrive à tout…

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