Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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Star trek into darkness.│Ginkgo

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Gryffondor



Edgar Herrison
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Ven 25 Oct - 12:36
So this is where you fell...

-Raa...

Un frisson traversa sa colonne vertébrale et il referma autour de lui sa cape. Ce qu'il n'aimait pas traîner ici. L'air stagnante, hormis près des rares fenêtres au courant d'air glacial, l'odeur des potions et surtout, la noirceur. Il plaignait les Serpentards et les Poufsouffles qui passaient chaque jour par ici. C'était déjà inquiétant d'y passer qu'une à deux fois par semaine, alors deux fois par jour au minimum... De nouveau il frissonna, il espérait pouvoir en finir rapidement avec ce couloir, mais. Mais sa sale curiosité, encore et toujours, le poussait à aller le plus loin possible dans le noir.

Il était sortit du cours de potion et avait tourné à l'opposé des autres élèves, il s'était lancé, tel Indiana Jones, dans une aventure mystérieuse et... particulièrement sombre. Mais ce n'était pas la première fois qu'il allait loin dans ce fichu couloir, alors rien ne se passa d'étrange, vraiment rien. Jusqu'au moment où il eu la stupide idée de faire un tour complet sur lui même en croyant entendre un bruit. Il ne manquait que ça pour perdre tous ses repères et se retrouver incapable de savoir si on s'enfonçait un peu plus dans les tréfonds du château, ou si on rentrait bien sagement à la surface. Là, ça devenait inquiétant. Il devait aimer se faire peur, en fait, pour réussir à faire une chose aussi idiote.

Il avança la main vers le mur qui évidemment n'était pas là, mais plus à sa droite, et il se mit à respirer plus rapidement, cherchant plus à gauche, tournant une nouvelle fois sur lui-même jusqu'à tomber sur la surface froide, humide et désagréable du mur. Il savait encore moins où il devait aller. Bravo. Vraiment bravo. Et maintenant comment il se sortait de là, hein ? Comment il allait faire pour savoir ver où se diriger, il ne savait même plus depuis combien de temps il marchait ! Ah. Idiot. Idiot. Et purée ! Ce bruit ! Encore !

Il jura après avoir sursauté. Le vide et le noir devait pas bien remplir le couloir qui certainement résonnait, il imaginait, il savait plus en fait. Alors, ce bruit qu'il entendait devait... être loin. Ou proche. Raa ! Il ne savait pas ! Mais dans quoi s'était-il mis ?
Il tenta un lumos. Inutile. Puis il se décida à... bouger, de toute manière il ne pouvait pas rester là comme ça. Une inspiration, une toux parce que c'est vraiment bizarre de respirer de l'humidité, puis il se mit à marcher droit devant en suivant le mur de sa main. Il avait l'impression de ne jamais apprendre de ses erreurs, sa curiosité le mettait souvent dans des situations foireuses, mais encore et toujours il se laissait guider par elle. Il soupira.

Et se stoppa net. Il ne rêvait pas, le bruit, ce fichu bruit, il s'en rapprochait. Bon. Il y avait deux choix soit c'était le truc bizarre qu'il cherchait à découvrir en venant ici, soit c'était un élève plutôt bruyant. Dans les deux cas faire demi-tour était stupide. Alors il se remit à marcher et s'approcha du bruit... son... de sabots. Mille et une raison pour ça lui vinrent et firent taire un peu son inquiétude, ou pas. Une fois assez près, peut-être, il ne s'en rendait pas bien compte vu que ça résonnait, il s'arrêta et... interpella le vide.

-Ho ? Il y a quelqu'un ?

Si c'est un cheval, Neam, tu as de l'espoir qu'il te réponde.
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S.A.U.M.O.N
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Ginkgo
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Sam 26 Oct - 13:39
« La dernière fois, j'étais dans le coulnoir et -
Le coulnoir ?
Mais oui, tu sais ! Le couloir tout noir, dans les cachots.
Ah oui, c'est vrai, j'oubliais qu'on l'appelait aussi bizarrement. Et alors ?
Eh bien, je crois que j'ai découvert une pièce un peu étrange.
Oh, c'est vrai ? Raconte ! »


Et il n'en fallait pas plus, pour les oreille traînantes de Ginkgo, pour se lancer dans une nouvelle aventure intrépide. On pourrait dire de lui qu'il était excessivement courageux, ou tendrement téméraire – je pense, plus personnellement, qu'il est juste doté d'une immense bêtise, et d'une naïveté à s'en frapper le front.
Il s'était lancé dans cette nouvelle aventure intrépide, en oubliant que, depuis qu'il était là, il avait toujours eut la frousse des cachots.

Les cachots, ce n'était pas normal – on pourrait dire que ce n'était pas humain, mais disons plutôt que ce n'était pas centaure.
Gingko ne concevait pas ses entrailles noires, obscures, qui avaient l'odeur du bois flottant lorsqu'il commence à moisir. Parfois, ça sentait la carcasse d'animaux qu'il avait retrouvé morts, quelques fois, au milieu des arbres de la forêt interdite – une affaire de troll. A des rares occasions, en passant devant la porte du cachot – il se posait souvent là-bas en sentinelle, trop curieux, prêt à attaquer le monstre qui sortirait par cette porte car oui, il était persuadé qu'une horreur se cachait dans les ténèbres – à de rares occasions, il avait senti un parfum merveilleux, qui sentait bon la forêt.
Il ignorait que des élèves de septième année préparaient un philtre d'amortentia.

Mais voilà ; Ginkgo est bien naïf, un peu trop sucré pour un centaure qui a grandit au milieu de la virilité de la forêt interdite, et quand on lui dit qu'il y a des merveilles qui se tapissent dans le noir, même si on ne lui a pas dit directement, il ne peut pas résister.
Même si il est un centaure qui déteste les cachots.
Même si il est un centaure qui, ne nous voilons pas la face, a peur du noir.
Oui, Ginkgo il a peur du noir – de l'obscurité complète.

Ce n'était pas normal, le noir. Le noir, le noir fort, comme les yeux de Zene, mais qui est partout, tout autour, tellement qu'il ne voit même plus le bout des ses doigts et que ses sabots se fondent dans la pierre. Il ne trouve pas ça normal – la nuit, il y a la lune, et les étoiles. Et même les nuits tempétueuses ont quelques éclaircies, et ses contours sont toujours dessinés de gris.
Là, non – du noir, total. Parfois, quelques lueurs de flamme éclairent, un peu vertes, les cachots. Mais là, dans ce couloir, il n'y a que le noir qui a avalé le château.

Ginkgo tremble, mais Ginkgo a un très mauvais instinct de conservation ; il s'élance.
Il ne lui fallut que trente secondes pour se perdre.

« Euh, quelqu'un peut m'aider ? »

Bien sûr, personne n'était dans le coulnoir – les élèves le fuyaient comme la varicelle du dragon. Mais Ginkgo était un centaure un peu trop doux, un peu trop dépendant, et lorsqu'il se péigeait dans des endroits impossibles, il demandait toujours un peu d'aide aux humains.
Ca le mettait mal ; mais il n'avait pas le choix.
Il refusait d'accepter que le château n'était pas son environnement naturel.

Le couloir était très étroit par moments, et Ginkgo souffrit de son corps qui possédait un derrière sur-dimensionné. Sa croupe se cognait contre les murs, balançant de droite à gauche, et à de nombreuses reprises, ses sabots ripaient sur le sol inégal. Ses mains essayaient de palper le vide devant lui, et parfois le mur, mais rien ne lui indiquait la sortie – et encore moins la pièce secrète.
Ça lui serrait la gorge, comme à chaque fois qu'il se coinçait. A chaque fois qu'il allait un peu trop loin.
Ginkgo soupira. Il s'arrêta net, trop effrayé à l'idée de bouger, et resta ainsi pendant trente bonnes minutes.
Il s'était résigné à attendre quelqu'un, comme à sa honteuse habitude.

Celui qu'il pensait être son salvateur arriva après cette longue attente. Il entendit des pas, un peu hésitants, frapper le sol et un souffle rapide qui résonnait dans le corridor, et une toux qui se cognait dans le silence.
Quelqu'un ! Il était fou de joie. Tout heureux, il se mit à avancer au pas, prudemment, de peur de glisser sur une pierre – s'il se cassait la patte, ce serait une catastrophe.
Ah, enfin, il allait pouvoir sortir d'ici – il était tellement rassuré, il détestait cet endroit, et le noir, qui écrasait son torse dans une angoisse indescriptible.
Soudain, un fragment.

« Ho ? Il y a quelqu'un ? »

Il arrêta immédiatement son pas, et son visage, caché par les voiles de la nuit, se décomposa.
Oh non – c'était lui, le Serre d'Aigles. Non, non il ne le détestait pas – en vérité, c'était plutôt l'inverse, et Ginkgo avait assez peur de lui.
Tellement que son cœur avait bondit quand il avait reconnu sa voix, si proche – peut-être juste à quelques pas de lui. Il voulait partir, faire demi-tour – mais il était perdu, dans le noir. Peut-être ne l'avait-il pas entendu – impossible, il faisait un véritable vacarme avec ses sabots. Il déglutit, sa gorge l'étranglait encore plus.
Finalement, il se sauva la mise et dit précipitamment.

« Euh, non, il y a personne ! »

Alors ça, c'est sûr, ça allait fonctionner du tonnerre.


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Edgar Herrison
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Dim 27 Oct - 23:21
Why you...


« Euh, non, il y a personne ! »



-Tu te fous de moi ?

C'est pas vrai... qu'est-ce que ça fait là ?

Il lâcha un long soupire.
Et ce long soupire exprima tout son désespoir. Dans ce couloir il n'y avait ni être étrange ou fantastique, ni élève connaissant la sortie. Il y avait juste. Ça. Ça, c'était une chose qui n'avait évidemment rien à faire là, et que Neam aurait préféré voir ailleurs. Ou pas du tout, même. Ça,  c'était non pas un boulet, parce que le serdaigle aimait bien les boulets, ou tous les autres gens bizarres qui peuplaient Poudlard, mais bien une chose plus qu'inutile : un centaure. Une créature sans profondeur, vide.  

En soi il n'avait vraiment rien contre ces bestioles ou toutes les autres créatures, il fallait juste pas qu'elles interviennent d'elles-même dans sa vie. Et forcément, ce centaure là, qui bouchait tout le couloir il en était certain, et bien il l'avait dérangé, il s'était dandiné devant ses yeux, il avait existé, fièrement, à Poudlard. Alors, le gentil et sympathique Neam avait d'abord ignoré ce grand machin plein de pattes, puis un jour, il avait fini par craquer.

Et depuis, à chaque fois qu'ils se retrouvaient seuls, Neam sentait remonter en lui toutes ces choses agaçantes venant des fantômes, des fées, des animaux, des plantes et que sais-je encore ! – Tout ce qui n'était pas humain en fait. Et ça se bloquait au niveau de son thorax, et ça pesait si lourd, que forcément ça retombait sur Ginkgo, l'homme-centaure. Mais quelle blague, sérieusement ! Homme ? Où ça ? Même dans sa personnalité il n'y avait rien d'un homme et tout d'un stupide cheval qui s’effrayait de tout. Un animal qui, accompagné d'un cavalier, d'un maître, d'un homme est capable de bien des choses, mais une fois seul... pire qu'une théière niveau réflexion, et il parlait de celle non ensorcelée.

Tout ça pour dire que ça l'agaçait. Neam tolérait son existence, mais pas sa vue – heureusement qu'il faisait noir alors.

-Qu'est-ce qu'une chose pareil fiche là ?

Le serdaigle ne savait même pas d'où ça venait, depuis quand il était aussi... intolérant à toutes existences non humaines. Mais c'était comme ça, malgré sa personnalité qui le fait accepter n'importe qui, il n'arrivait pas à considérer ces choses comme des êtres vivants. Et ça donnait ce genre de situation où il parlait non plus avec un grand sourire, mais avec un soupire lasse dans la voix. Il l'agaçait déjà ! Le vacarne qu'il avait fait et cette réponse si... si... intelligente, vraiment, il avait l'impression qu'il se fichait de lui, qu'il faisait exprès.

Ça l'insupportait de plus en plus.

-Tss...

Il s'avança droit devant. Un pas, deux pas. Là, il devait être près de lui – si on écartait la possibilité qu'il ait foncé droit dans le mur.

-Tu vas où comme ça ?

Il était si sec, si froid, il l'agressait par son ton. Mais c'était juste ça, rien que des questions qui avec un peu de chances le ferait faire demi-tour et se barrer. Oh. OH.
Dans le noir un léger sourire lui vint.

-Et tu viens d'où ?

Avec un peu de chance il pourrait le laisser là et passer son chemin en sachant vers où était la sortie.
Un peu.
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Ginkgo
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Mer 30 Oct - 0:45
Il aurait aimé se faire petit, tout petit, ridiculement petit.
Petit, comme un écureuil ou comme un botruc, petit comme un vivet doré, petit comme une souris bleue ; mais c'était assez difficile.
C'était assez difficile puisqu'il mesurait deux mètres de long et un mètre quatre-vingt en hauteur. Quand çà sa largeur, ce n'est pas quelque chose qu'on demande à un centaure, voyons.

Mais il aurait tellement, tellement aimé pouvoir se ratatiner sur lui même – il ne l'aimait pas. Ginkgo lui, n'avait rien, absolument rien contre cet étrange élève, mais l'autre lui, il ne l'aimait pas. Ginkgo le ressentait sur sa peau qui vibrait sous les coups de son agacement – oh, non, il ne le frappait pas. Il parlait, il soupirait, il laissait glisser quelques fois, sur sa langues, des mots blessants.
Des mots qui entaillent son gros cœur toujours trop chaud. Ça lui provoque, dans sa gorge, un rire nerveux, et il mime le rien Ginkgo, mais ça ne marche pas.
Ça le blesse.
Il aurait aimé ne jamais le lui montrer, mais la première fois qu'il l'avait meurtri, il s'était enfuit ; ça en dévoilait trop.

« Tu te fous de moi ? »

Il ne jugea pas bon de répondre – et peut-être qu'à cet instant, l'humain néophyte avait un bon instinct. Parce que, en tout honnêteté, il aurait répondu que oui, il se foutait de lui, mais ce n'était pas méchant hein, c'était juste pour éviter de le croiser !
Mais c'était impossible, dans ce couloir exigu bouché par son énorme derrière et sa queue, touffue, qui se balançait mollement de gauche à droite. Un soupir déchira les ténèbres.
Dans le noir, Ginkgo baissa les yeux un moment. C'était un blasphème – un centaure ne devais jamais courber la nuque. Comme électrisé, il ravisa son regard, un peu tremblant.
Il aurait aimé ne s'être jamais trouvé ici.

Il attendit en silence.
Comme un enfant – un poulain, en faute. Il avait joint ses mains, devant son ventre, qu'il triturait nerveusement. Il ne baissait plus ses cils, mais l'envie le démangeait – puis, personne ne verrait rien, dans le noir.
Il attendait quelque chose – qu'il s'en aille, probablement. Quitte à lui escalader la croupe pour se frayer un chemin, mais il partirait, loin de lui, qui faisait remonter dans sa gorge tous ces soupirs d'agacement.
Et lui, il ne disait rien – c'était rare, si rare, qu'on emprisonne sa fougue. Il suffisait juste d'un peu trop d'aversion pour lui empoisonner le rire.

Soudain, dans son mutisme, il entend des bruits de pas qui se rapprochent – deux exactement. Il lui parle, l'élève qui ne l'aime pas – il lui parle.
C'est méchant, mais ce sont des mots, qui le surprenne, et qui lui font ouvrir sa bouche en forme de baie.

« Attends, attends, t'es où ? »

Il dit ça, avant de lui répondre – comme s'il avait oublié qu'il ne l'aimait pas. Ginkgo tends ses mains devant lui, sans les voir, et avance vers la direction des pas en tâtonnant dans le vide. Soudain, un peu trop brusquement, il finit par sentir quelque choses sous ses paumes – ah, c'est un nez ! Et il lui écrase le visage dans sa grande délicatesse, palpant ses joues et ses cheveux, comme une sculpture de bois.

« Ah t'es là ! Oh pardon pour le pied. »

Oui, il avait du mal à contrôler ses sabots dans le noir. Mais il avait besoin de cette proximité, car sa cécité l'angoissait – bien plus que la méchanceté de Theophrate, apparemment.

« Euh alors euh. »

Il continuait de le toucher, à la recherche de ses épaules, où il cala sa main droite.

« En fait, je viens de là-bas. »

Il désigna la pénombre derrière lui.

« Et je vais euh – ben, par là. »

Il désigna la pénombre devant lui.
Sans se douter le moins du monde que l'autre élève était incapable de voir quoique ce soit dans le noir.

« Il fait super noir, hein ? »

Rit-il, un peu nerveusement, agitant un peu plus fort sa queue à l'arrière de son corps.
Et alors, comme si son anxiété le chamboulait un peu trop, il attrapa le bras de Theophrate et s'y accrocha comme un demoiselle en détresse, scrutant la pénombre avec peur, comme si un monstre allait en sortir, ou était déjà là.


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