Amalya ne se sentait pas dans son assiette depuis le début de la semaine. En cause, un événement du calendrier. La saint Valentin, cette fête ou tout le monde prouve à sa moitié qu'on deborde d'amour pour elle. C'était pas triste chez les moldus, mais chez les sorciers c'est pire.

En particulier quand Poudlard s'en mellait. Tout le monde était un peu sur ses gardes le jour fatidique, si bien que peu mangèrent à leur faim.
Ama avait eu la chance d'y échapper miraculeusement l'année précédente, mais au cours de divination quelques chose lui avait indiqué que cette année elle ne serait pas ausssiii chanceuses.

Après le repas, elle quitta la table et se dirigea vers les couloirs.  L'objectif etant de fuire le plus possible la catastrophe.
Serte, ce n'était pas très noble, maid face à une situation incertaine cela semblait etre la meilleure des solutions.
Malheureusement, elle n'eut pas le temps de sortir, qu'un pincement se fit sentir sur sa fesse droite. Amalya se retourna vivement et ne vit que l'assemblé d'élèves encore présent et ces stupides angelots censé décoré le plafond.

Tout son corps se mit à bouillir de l'intérieur,  un rictus boudeur sur les lèvres et le regard noir malgré ses yeux clairs.
Elle compris ce qu'il se passait quand elle vu l'un des angelots viser délibérément quelqu'un avec une flèche.
#Dans mon monde, on raconte que l'on doit l'amour à des chérubins et leurs flèches rendant amoureux. #
Pensa Amalya.

Et comme les légendes moldue on ma facheuse habitude de devenir réelle dans le monde sorciers, tampis si elles sont peut etre factices, mais elle n'avait pas envie de tenter le coup de la chance. D'autant plus que sa baguette la démangeait.

La jeune Serpentard allait brandir sa baguette pour désintégré le bambin aillés en couche culote, mais la flèche fut tiré avant de ne pouvoir prononcé un quelconque sortilège.

Visiblement, elle ne se sentait pas subitement éperdument amoureuse de qui que ce soit.
Tant mieux, ça lui a évité de faire perdre des points à la maison verte, même si ca serait bien la première fois volontairement.

Elle parlait plus fort que d'habitude, assurée et sans envie de fuir les gens.
Juste une irrésistible envie de passer ses nerfs sur quelqu'un pour aucune raison valable.

Amalya se retourna dans tout les sens à la recherche d'un passe nerf.
Son regard s' arrêta sur un griffondors, qui n'avait probablement rien fait mais qui selon elle, avait osé la regardé de travers.
Et puis elle avait juste tellement envie de lui foutre une tarte.

Ce qu'elle fit en se servant du fait qu'il l'aurait regardé de travers pour justifier son acte.

"On ne t'as donc jamais appris à ne pas devisager une demoiselle ?!?"

Amalya ne savait absolument pas pourquoi mais, elle en voulait au monde entier. De quel droit osaient-ils la devisagé.

Amaya sentait sa main fourmiller après avoir giflé le Griffy.
C'était pour elle une sensation nouvelle puisque il s'agissait de la première fois qu'elle gifflait quelqu'un.

Toute la table de la maison or et carmin les dévisageant, certain ne comprenant pas vraiment ce qui se passait, tandis que d'autre parlaient entre eux, ce qui allait donner naissance au ragots.

Elle se tourna vers une poignée de personnes qui la regardaient.
-"mêlez-vous de ce qui bous regarde ! "
Tout ce qu'elle voulait c'est qu'on ne la regarde pas et elle faisait tout le contraire de ce qu'il fallait pour passer inaperçu. Du coup elle attirait les regards et la rendait encore plus susceptible.
Tandis que le jeune homme giflé lui lançait des éclairs fictif.

"Non mais ça va pas la tête ou quoi ?!
Je regarde qui je veux d'abord ! C'est pas parce que t'es à Serpentard que tu vas me dire quoi faire !!"

Le gars dégaina sa baguette qu'il points en direction de la jeune demoiselle, qui elle recula d'un pas de manière défensive.
-"T'as qu'à regarder ailleurs mais pas moi."

D'habitude, elle ne se sentait pas concernée par la rivalité rouge et vert, mais là, sans explication aucune, elle eu un élan de patriotisme pour cette maison où elle n'avait pas sa place. D'autant plus que c'est désormais lui qui la menaçait de sa baguette.

"M'oblige pas à te lancer un sort."
-" Tu ne lancera pas de sort n'est ce pas, ça ferait perdre des points à ta maison."

Elle se retenait de dégainer dans le seul but de ne pas se faire lancer, ou alors si il le faisait, d'en profiter pour faire perdre des points au Gryffondor.
De plus les professeur étaient encore à leur table. Même si eux non plus ne semblaient pas dans leur états normal.

"-Avoue juste que tu voulais juste te faire une jolie fille pour la saint Valentin."

Voilà qu'elle se lançait des fleur à présent, décidément cela ne tournait pas rond et quelque chose l'empêchait d' en prendre conscience.
Après ces derniers paroles, les messes basses au tour des tables reprireng de plus belle, mais cette fois elle s'en fichait. C'était l'effet voulu.

HRP: