Wendy Weatherfield, Poufsouffle, 3ème année a écrit:

Si j'étais perdue sur une ile déserte et que je n'avais qu'un sort de métamorphose animale partielle à ma disposition, je pense que je changerais mes mains et mes pieds en mains et pieds de singe.

Grâce à cela, je pourrais monter aux arbres. Je ne sais pas monter aux arbres, mais c'est une compétence très pratique.

Ca me permettrait de cueillir et manger des fruits, afin de ne pas mourir de faim en attendant des secours. Si je ne pouvais pas cueillir de fruits, il ne me resterait que la pêche, mais je ne sais pas non plus pêcher ni préparer des poissons, et la collecte des fruits qui seraient tombés, qui ne seront pas forcément encore bons. Je pourrais aussi chasser, sauf que je ne suis pas très sportive, que je ne sais pas préparer de pièges et que je n'en aurais probablement pas le matériel, et que je ne sais pas non plus préparer ce que j'attraperais de toutes façons. Dans un arbre, je peux aussi voler des oeufs d'oiseaux pour les manger. Monter aux arbres m'offre une source de nourriture fraîche et facile d'accès.

Monter aux arbres me permettrait aussi d'avoir un point de vue plus élevé, qui me permettrait de voir plus loin à l'horizon : j'aurais donc plus de chance d'apercevoir un bateau, et plus de temps pour attirer son attention.

Monter aux arbres me permettrait aussi de collecter facilement du bois pour allumer un feu. Je pourrais toujours passer du temps à récolter du bois tombé, mais c'est plus long et fatiguant, et dans un arbre je peux simplement casser beaucoup de petites branches, les laisser tomber au sol et les récupérer ensuite. Avec un feu, je peux créer une colonne de fumée, et attirer l'attention des navires vers mon île.

Enfin, cela me donnerait un lieu sûr pour dormir. Réfugiée en hauteur, je suis à l'abri de tout prédateur terrestre. Je crois qu'il n'y a que les araignées et certains serpents qui peuvent m'atteindre.

Avoir des mains et des pieds de singe rendrait mon séjour sur une ile déserte beaucoup plus sûr et beaucoup plus facile. C'est donc le choix que je fais.

Citation :

Avant toute chose. Si j'arrive sur une île déserte je me transforme pas.
Je suis un moldu moi. J'ai vu des tas de films comme ça. Je sais comment il faut faire pour survivre et une baguette magique ça aide à rien du tout. Déjà il faut avoir un canif sur soit et se faire une cabane et se tailler un harpon pour aller pécher des poissons ou tuer des lapins sauvages. On mange pas les fruits qu'on connait pas et on monte au haut des palmiers pour voir l'horizon. Et après tout ça on allume un feu pour faire des signaux de fumée.
Si y'a des indigènes sur l'île on reste gentils et on fait connaissance. Avec de la chance ils sont comme dans Pocahontas et on se comprend et ils te nourrissent et tu peux vivre ici pour toujours parce que les indiens c'est quand même méga cool. Si ils veulent te tuer... bah comme dans Pirate des Caraïbes, tu cours et tu cherches le bateau.

Mais bon, si vraiment il faut se transformer bah je veux le système de respiration et les palmes d'une tortue de mer pour faire de l'exploration sous-marine en attendant les secours mais franchement ça sert à rien. Si faut vraiment faire la magie bah autant le faire pour allumer un feu de détresse ou couper un arbre ou trouver son chemin avec pointe au nord ou transplaner pour les grands qui savent faire.....

Spoiler:

Waël McGohan a écrit:

Waël McGohan
Troisième Année
Serpentard

Donc, premièrement, je ne voyagerais jamais seul. Parce que dans ce genre de soucis, il vaut mieux être accompagné, même par une personne que l'on déteste. Ainsi, si je voyageais avec Louis, je pense que je le mangerais sans magie pour survivre, et lui sera tout simplement heureux de mourir sans recevoir de sorts.
Mais dans le cas où je me retrouverais seul sur une île déserte, je maudirais ma chance car ça ne doit pas être très très courant, puis, me rappelant de votre cours, j'opterais bien entendu pour une transformation partielle, plutôt que de saisir des fusées de détresse et d'avertir les bateaux alentours.
Je me transformerais donc partiellement en cafard, du moins la résistance de mon corps, comme mes organes. Le cafard est petit mais ce n'est pas un prédateur, donc il ne me demandera pas tant d'efforts. De plus, je pense que mis à part pour manger Louis, je garderais des valeurs végétariennes, donc il ne vaut mieux pas que je me transforme en je ne sais quoi d'hostile.
Les cafards sont très très costauds. Ils peuvent transporter des charges très lourdes pour eux, font fuir les gens, et peuvent vivre plusieurs semaines sans leur tête. Bien que je n'envisage pas de la perdre, au cas où, on n'est jamais à l'abri d'une noix de coco qui tomberait sur mon pauvre petit visage.
Les cafards se nourrissent de tout ce qu'ils trouvent et très peu ont l'air de mourir d'indigestion. Même, très peu meurent de cause naturelle, à ce que l'on peut observer. Donc ils ont la classe. Si l'homme est la cause principale de mortalité chez le cafard, si un tenterait de me tuer je lui demanderais ce qu'il fait là, puis avant que je meurs (il y a toujours un laps de temps, toujours), je le tuerais. Juste pour venger ma mort, bien que je sais que Benedict le ferait après.
Puis, grâce à l'intelligence que je garderais, je deviendrais le maître incontesté de tous les animaux de l'île, qui ne pourront pas rivaliser.
En attendant qu'un bateau de croisière arrive, plein de touristes allemands en tongs et chaussettes, et à ce moment là, je monterais dedans, ayant au préalable fait usage de ma fameuse fusée de détresse gardée sous le coude -enfin plutôt dans la main parce que sinon c'est compliqué. J'aurais pris beaucoup d'assurance en devenant le roi de tous les animaux de l'île, alors si le capitaine commence à me prendre la tête, comme quoi je n'ai pas payé le voyage, je lui crierais dessus un bon coup, pour calmer tout le monde.

Spoiler:

Citation :

Sloan T. Holmes
4e année
Serdaigle  

N'allez pas croire que je fasse ce choix par pure sottise. Ou manque d'idées. En réalité je le fais après avoir trop joué à Tomb Raider - référence moldue - . La survie et les humains, ça se travaille sur des années ! Mais si vous prenez la variable de la transformation animale, c'est de suite plus ouvert à une amélioration massive des capacités d'un survivant, ça en fera même un chasseur... au mieux un prédateur. Enfin, ici ce ne sera pas le cas.

Le caméléon. Le caméléon étant en un être vivant particulièrement adepte de la vie tropicale, le milieu coïnciderait sans aucun problème avec l'environnement d'une île. Ainsi pas de problème d'adaptation terrestre, quand bien même la fuite par l'océan pour retrouver les terres ne sera pas exploitable.

Plutôt que de choisir un animal prédateur au sommet de la chaîne alimentaire, il est préférable d'être l'insecte sous la patte du fauve. Le caméléon est un saurien particulièrement avantagé face à ses ennemis naturels. Il ne possède pas les qualités d'un prédateur, en revanche il a tout ce qui le protégera en tant que proie. Le caméléon est par ailleurs moins perturbé par le phénomène de récompense sexuelle, le sujet ne serait donc pas troublé par des pics hormonaux.

Partons du principe simple que l'usage trop accentué des caractéristiques du prédateur sont fatigantes pour un sorcier sans aucune de ses ressources habituelles - la vision du caméléon est certes un risque potentiel de déformation rétinienne, mais l'effet se voudrait temporaire. en revanche le sujet serait mis sous l'avantage d'une vision à 360° ce qui n'est pas négligeable. - Ensuite, on retiendra deux autres variables. La grande facilité de gestion de pigments des cellules de la peau, c'est idéal pour un camouflage rapide. Enfin la queue propre aux caméléons de grande taille, rétractable et articulée serait réellement un avantage, si le sujet n'est pas familier avec l'escalade. De plus le choix d'un animal assez basique et dont les variations sont supportables promettent un taux de survie supérieur jusque l'arrivée de secours.

Citation :

DEVOIR DE METAMORPHOSE

Que faut-il pour survivre sur une île déserte ? Une barque, dirait n'importe quel moldu, mais nous sommes sorciers, et nous avons notre baguette sur nous, alors soyons créatifs ! De plus, l'intitulé du sujet implique que nous attendons les secours. Ce qui est dommage, il serait possible de fuir de l'île déserte grâce à ce sort. L'amnésie nous a peut-être rendu un peu idiot au final.
Imaginons une île déserte lambda serait un simple îlot de sable avec deux ou trois palmiers. La source de nourriture la plus fiable serait les poissons et les crustacés, il serait aussi utile de pouvoir boire de l'eau salée.
Je pense que je me doterais de pattes, de l'appareil digestif et du bec d'une mouette. Les ailes n'étant pas nécessaire à se nourrir, m'équiper des pattes et du bec serait suffisant. L'appareil digestif me permettrais simplement de digérer le tout. Les mouettes communes sont capables de boire de l'eau salée et peuvent manger crustacés, lombrics, de végétaux et de poissons, leurs pattes peuvent frapper le sol et attirer les lombrics hors du sable. D'après moi, la faculté d'adaptation de ces animaux peut être acquis uniquement avec ces trois petits éléments physique. Les secours pourraient donc prendre leur temps.

Violet pouvait penser à des tas et des tas de sortilèges utiles en situation de survie, et la métamorphose partielle n'arrivait absolument pas en premier sur sa liste. A part un animagus complet, elle ne voyait pas trop l'utilité de la chose ; mais bon, c'était l'exercice, elle allait essayer.

Parchemin a écrit:

Violet Jenkins
3e année – Serdaigle

Métamorphose partielle

Si j'étais sur une île déserte, mon premier réflexe ne serait pas d'utiliser la métamorphose, mais plutôt de tenter de survivre ; trouver un point d'eau, un abri, de la nourriture. Je pense qu'il est plus judicieux d'utiliser le sort brièvement plusieurs fois que de se transformer longtemps d'une seule manière. Ainsi, les pattes d'un animal doué pour la pêche, comme un ours ou une loutre, peuvent fournir une alimentation correcte. Celles d'un animal grimpeur comme un félin ou un singe peuvent permettre de se mettre à l'abri. Si cela est possible, le système digestif d'un paresseux peut permettre de se nourrir uniquement de feuilles sans en être malade. Dans la nuit, des yeux de chat sont particulièrement utiles. On peut même imaginer le nez d'un fléreur, au cas où un trésor pirate serait enterré dans le coin, ou un cou de girafe pour voir le bateau de secours arriver, ou encore un morceau de peau devenant celle d'un serpencendre pour allumer un feu de camp. Les possibilités sont infinies, selon la tâche qu'il faut accomplir pour la survie. Chaque animal a des facultés particulières, et le fait d'annuler le sort régulièrement permet d'économiser ses forces. Plutôt que de maintenir le sortilège pendant longtemps, on redevient soi-même afin de conserver un maximum de magie pour la fois suivant où on en a besoin.

Voilà. Pas brillant, mais ça ferait l'affaire.

Il regarde le sujet, un sourcil froncé. Mouais. Mouais. Mouais. Il sait pas du tout, c'est pas le genre de questions qu'il s'est déjà posé. Mais il prend quand même de quoi écrire, commençant à laisser divaguer ses pensées. A réfléchir. Et il finit par commencer à écrire.

Wolfgang X. Yansbrück, Poufsouffle, 3° année a écrit:

Y'a beaucoup trop d'animaux en lesquels je voudrais me changer, même partiellement. Mais ayant grandi en Amérique, il y a plusieurs animaux que j'admire particulièrement, dont le coyote. J'aimerais en avoir les yeux, les oreilles, ainsi que le flair. Ainsi je serais en mesure de voir et d'entendre, mais aussi de sentir clairement pour me prémunir des dangers. Je pourrais compter sur mes sens pour me protéger, tout en gardant le reste de mes caractéristiques humaines pour me défendre.

Il se dépêche d'écrire. Il est presque en retard pour rendre sa copie, la cloche va sonner. Il a trop tardé à réfléchir, à penser. Trop tardé à se remémorer d'anciens souvenirs. Et le voilà qui bâcle son devoir, pour finalement bondir de sa chaise alors que la cloche annonce la fin des cours. Juste à temps.