MATCH N°3 SERPENTARD VS SERDAIGLE [2015-2016]

Date d'inscription : 27/12/2013

C'était assez impressionnant de constater comme le temps passait lentement lorsqu'on souffrait. Et Aliénor souffrait beaucoup, elle avait très froid, envie de vomir et ne sentait approximativement plus rien dans son bras droit. Elle zonait un peu au hasard et en voyant le poursuiveur adverse se blesser elle en profite pour voler de profil, histoire de limiter la pression du vent sur son bras blessé, ce qui ne servit à rien. Elle réussit à récupérer le souaffle tout en observant le batteur bleu faire un bisou à Meme ce qui lui permit de continuer à filer droit, de profil, vers les cerceaux.

Date d'inscription : 05/02/2014

Le froid immobilisait les articulations de ses doigts, et Amethyste se demandait comment elle arrivait encore à tenir sa batte sans la lâcher. Elle avait l'impression que la batte s'était gelée entre ses doigts et qu'elle faisait partie de son corps, le moindre accident lui casserait sans doute les doigts. Elle jura, se dirigea vers les cerceaux en suivant Aliénor. Si elle arrivait à toucher le gardien, ce serait le but, mais elle en doutait sincèrement. Le cognard repéré, elle se prépara à lancer son coup. Se prépara seulement, car le coup ne partit jamais, et le cognard atterrit droit sur ses côtes.
Elle n'allait pas rentrer en un seul morceau.

Invité **Invité**

Qu'est-ce qu'il faisait froid. Non mais vraiment. Quelle idée de les faire jouer en pyjama en plein hiver ? Sanaé fulminait un peu, mais restait concentrée. Il fallait qu'elle attrape le vif, cette fois - il n'y avait que ça qui comptait - mettre fin au match, apporter la victoire à son équipe, mettre des vêtements plus... couvrants. Mettre un pull. Ou trois. Se réfugier sous sa couette avec une bonne tasse de thé brûlant et son devoir de métamorphose.

Mais pour le moment, le vif restait invisible. Tremblotante, Sanaé continuait à chercher. Et se prit un cognard en plein ventre. Au moins, la douleur lui fit oublier le froid pendant quelques secondes.

Date d'inscription : 11/05/2015

Peony allait baisser les bras. Il n'était pas quelqu'un de très persévérant lorsqu'il n'était pas passionné, et le Quidditch, c'était juste un passe-temps. Il était à un stade où il avait envie de se poser sur l'herbe du stade et d'attendre que ça se finisse sans lui.
Puis le vif passa juste sous son nez.
Puis il eut une image mentale. Celle d'Astrid le fécilitant de les avoir fait gagner ; celle du reste de l'équipe admettant qu'il n'était pas si inutile que ça.
Dans un élan de motivation, Peony poursuivi le vif d'or, motivé. Puis lorsque, le frôlant des doigts, il lui échappa, il jura et alla bouder près d'une tribune.

Date d'inscription : 15/02/2015

Mais était-il définitivement entouré de bras cassés? N'y a-t-il pas la possibilité même infime que quelqu'un d'autre, outre lui et le capitaine, sache se tenir sur un balai ? Qui puisse faire avancer le jeu un tant soit peu ? Il y avait vraiment de moins en moins de pitié au fur et à mesure qu'Ulysse bouillait sur son balai (en ratant cognard après cognard, d'ailleurs). Défoncer Perseus lui avait, certes, procuré un certain soulagement momentané. Mais vous savez ce qu'on dit sur le cerveau primaire : la petite satisfaction ne suffit pas très longtemps.

Alors ses doigts le démangent. Après tout, quoi de bien méchant dans un cognard ? Ce n'est un ballon après tout. Il repère alors son deuxième bff volant (il s'attaquera aux spectateurs après). Peony, après avoir attrapé d'impressionnantes quantités de vifs d'or au nombre de zéro, se reposait tranquillement vers une tribune Serdaigle. Il n'allait pas avoir un air aussi content très longtemps, car Ulysse lui envoie un cognard en plein dans le manche, déguisant par une visée vers Sanaé. Ca lui apprendra à être grand, blond et prétentieux.

Date d'inscription : 27/01/2014

Et alors qu'elle poursuivait dans sa montée vertigineuse, le match... lui était un amas de combinaisons t-shirt/culotte qui brûlait les yeux! Pendant que la Capitaine peu fière de Serdaigle se jetait sans aucune délicatesse sur les cognards qui passaient il semblait que les pyjamas avaient fini par avoir leur effet dodo sur la plupart des joueurs. Ou bien, plus simplement c'était un match totalement habituel entre les bleus et les verts, parce qu'après tout ça tournait très rarement dans le bon sens, et on ne pouvait pas en vouloir à ce pauvre Monsieur Cognard de s'être planté en plein dans l'estomac de Holmes au bout d'sa septième minute de coma-volant. Voilà. Holmes suspendue à son balai, c'est très esthétique. Surtout avec le pull made in Jefferson. SO IN.

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