Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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I'll tie my heartstrings — John

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John Rosenbach
John Rosenbach
Messages : 2
Date d'inscription : 11/02/2015



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Lun 8 Juin - 18:23

John Rosenbach
Et là tu mets une petite phrase pour faire très sympathique, très inspiré, ou même très poétique. Tu peux même mettre plusieurs lignes, parce que ça fait très joli, normalement.


Âge ϟ 27 ans.
Nationalité ϟ Britannique.
Origine ϟ Sang-pur.
Emploi ϟ Auror.
Ancienne maison & école ϟ Poudlard – Gryffondor.
Lieu de vie ϟ Quartier Maëva (parce qu’elle a encore toute sa tête).
Date de naissance ϟ 19 Mai (la flemme de faire le calcul pour l’année /sort)
Groupe ϟ Ligue des sorciers.

Son avis sur la situation du Londres magique ϟ Elle se sent plus ou moins impliquée. Le programme du ministre actuel de la magie ne lui plaît pas trop, elle le trouve relativement irresponsable, un peu trop utopique. Ayant toujours vécu dans une famille de sorciers plus ou moins traditionnels (mais absolument pas racistes (a) ), elle trouve que le programme d’Ater Bumblebee est le plus réaliste et le moins chaotique des trois.








Caractère
these sad old weary lonesome johnny blues.


(Ça arriiiiiive ♥)





Histoire
you had the blue heart.


« - Dis Johnny ! Tu penses que si je lui arrache les ailes il en repoussera des nouvelles ?
- Lâche-le, Anne, il est tout sale regarde. Et puis, il aura mal si tu lui coupes les ailes.
- Est-ce qu’on aura des ailes, plus tard ?
- Non mais on aura un balai. J’imagine que ça compte pareil ! »

Anne et John s’extirpaient doucement à l’enfance comme le serpent qui s’arrache à sa peau. Elles savaient qu’elles n’étaient pas ordinaires – elles l’ont toujours su. À quatre ans, alors qu’elles jouaient à marcher à cloche-pied sur la cloison haute qui séparait leur jardin de celui des voisins, Anne fut prise d’un fou rire et se renversa sur le côté. Elle ne s’était pas retrouvée la tête plantée à l’envers dans le potager du voisin comme elle l’aurait dû ; son corps lévitait juste au-dessus des tomates pas encore mûres. John, envahie par la panique, ne savait pas ce qu’elle avait fait, et dès qu’elle lâcha un cri de surprise sa sœur se retrouva étalée sur les malheureuses plantations du voisin qui à présent ne lui seraient plus très utiles. Plus tard, à cinq ans, une Anne terrorisée réduisait en feu un misérable mille-pattes qui passait à côté d’elle alors qu’elle s’allongeait sur la pelouse et qu’elle soufflait sur des fourmis.
Elles, elles ne comprenaient pas très bien – elles voulaient seulement en jouer. Parfois de grands mots se dérobaient aux lèvres fières de leur mère. Elles prenaient très au sérieux les paroles de leur mère, parce qu’elle savait tellement de choses (même si elle était tellement trapue et petite que personne ne la prenait vraiment au sérieux à part elles, et que même ses filles s’amusaient parfois à l’appeler la dragée géante.) Elle disait toutefois : De très puissantes sorcières ! La rondeur de l’orgueil remplissait ses phrases comme si elle avait de ses propres mains façonné ces deux poupées identiques et qu’elle leur avait insufflé toute l’essence de la magie. Anne et John ne comprenaient pas ce qu’une puissante sorcière était – peut-être une créature qui pourrait transformer les nuages en coton et les décoller du ciel, ou redonner ses éclats à la poupée Emilie défigurée par John qui, en croyant lui refaire des couleurs et la débarrasser de sa pâleur, la jeta dans la cheminée.
Elles avaient enterré Emilie dans le jardin, à côté d’une dizaine de poupées qu’elles déclaraient décédées, ensuite elles l’avaient oublié jusqu’à ce que les parents décident qu’il fallait déblayer la terre pour avoir un potager aussi beau que celui des voisins. Toute leur collection de  jouets enterrés refit alors surface et elles pleurèrent en regardant par la fenêtre la mémoire de leurs aimés se faire ainsi bafouer.
Pourtant, personne ne semblait jamais plus heureux, personne ne semblait vivre les sursauts du cœur comme ces deux enfants les vivaient. Elles n’étaient jamais seules – elles se complétaient, se suivaient l’une l’autre comme les pas d’une danse. Elles étaient identiques au début, deux visages imprimés dans la même substance – seuls leurs regards n’avaient pas les mêmes couleurs. Et puis ensuite elles ne l’étaient plus, lentement. John avait appris les éclats qui dessinent les traits comme le bonheur les marque, les lèvres d’Anne se courbaient de moues toujours un peu plus souvent.

***

« - Dis, Johnny. Tu te rends compte ? Si on n’est pas réparties dans la même maison, on ne pourra plus jouer à faire des tentes avec les matelas après l’extinction des feux !
- Même si on se retrouve dans la même maison je ne crois pas qu’on puisse faire ça Anne, les dortoirs sont partagés entre plusieurs élèves tu sais ?
- On ne pourra plus non plus lire Vie et habitat des animaux fantastiques sous la couverture ?
- À Poudlard il y’a beaucoup plus d’endroits intéressants pour lire, Anne !
- Mais on n’aura plus du tout la même vie.
- On en aura une meilleure, tu verras. »

Elles ne s’étaient pas retrouvées dans la même maison mais elles s’y attendaient toutes les deux ; elles devenaient différentes – l’une de l’autre, d’abord, et d’elles-mêmes quand elles étaient enfant. La cloison qui séparait leur jardin de celui du voisin n’était plus aussi haute, soudainement, elle ne leur faisait plus autant peur. Sans trop s’en rendre compte elles s’arrêtaient plus souvent devant les miroirs, contredisaient leur mère qui voulait plutôt leur faire mettre le ruban jaune – mais le jaune, plus personne ne le met ! – et se retrouvaient le soir à rire de Colin, ce petit Serpentard qui voulait à tout prix inviter Anne pour le bal de Noël.
Elles avaient des comètes dans les yeux, des tournesols autour du poignet et elles dérobaient aux poèmes des mots nouveaux d’amour qu’elles mettaient sur leurs sourires ; quand Anne croisait Colin dans leur salle commune ou lorsque John levait ses yeux de son ouvrage pour regarder le dos de son professeur de sortilèges.
L’enfance se marbrait lentement de blessures et très doucement elle s’effondrait en mille morceaux – Anne et John n’étaient plus des petites filles et n’avaient plus les mêmes jeux.
Anne et John n’étaient plus des petites filles et de leurs baguettes jaillissaient des étincelles qui faisaient des pâleurs sur le teint de leur mère ; elle disait puissantes sorcières sans trop y croire lorsqu’elles avaient six ans et maintenant elles en avaient seize et ces mots prenaient soudain leur sens.

***

« - Hé, Johnny. Toi tu as eu les yeux bleus. Pourquoi je n’ai pas eu les mêmes yeux moi aussi ?
-  Hmm… Ça doit forcément être la faute de la dragée géante, tu veux qu’on échange ?
- Oh oui ! Donne-m’en au moins un ! »

À défaut d’avoir le même regard, Anne avait eu le cœur bleu, les rêves bleus. Devant le miroir elle passait deux derniers coups de peigne dans ses cheveux. Elle souriait.
Elle avait le visage des femmes heureuses.
Elles venaient d’être diplômées de Poudlard, et un homme lui avait dit qu’il resterait à jamais avec elle. John avait menti aux regards taquins de sa mère qui lui demandaient si elle en était jalouse. Elle l’était ; elle était après tout ce que Colin prétendait être pour Anne – son unique âme sœur, le seul être qui resterait véritablement à jamais avec elle. Elle n’avait pourtant pas menti en affirmant qu’elle n’avait pas besoin d’un homme dans sa vie – pas d’un homme comme Colin en tout cas.
John avait d’autres projets.

***

« - Johnny, tu danseras à mon mariage ?
- Comme quand on dansait quand on était petites à la trompette du cousin Brian, tu te souviens ? Comme si notre vie en dépendait.
- Il jouait tellement mal, ce pauvre Brian. »

Elles se retrouvaient plus souvent à choisir des détours différents à chaque carrefour – évidemment, elles le savaient, c’était inévitable. Mais chaque déchirure était aussi douloureuse que cette évidence. À grandir comme elles, on finit par oublier que l’on possède un cœur à part et que la séparation n’est pas un synonyme de perte. Elles ne voyaient plus les matins comme elles le faisaient avant – le bonheur, pour elles, n’était plus une histoire racontée en secret à la lumière de leur baguette sous les couvertures du lit. Elles donnaient chacune un sens différent aux mots nouveaux qu’elles apprenaient, sans vraiment savoir que sous les plis de leur cœur stagnait le même rêve commun qui les hantait à leur enfance ; être cette puissante sorcière, cette créature incroyable qui pouvait transformer les nuages en coton et les décoller du ciel.

***

« - Hé, John. Qu’est-ce que tu vas faire, maintenant ? Tu as réfléchi à ce que tu voulais devenir ?
- Ça fait déjà un moment que j’y pense. Et toi ?
- Moi aussi. J’en ai parlé avec maman, et j’en ai parlé avec Colin.
- Je crois qu’on sait toutes les deux ce qu’on fait, et c’est ce qui compte. »

Elles savaient ce qu’elles faisaient. Elles lisaient chacune dans le sourire de l’autre.
Elles n’avaient pas oublié ces mots qui revenaient toujours dans leurs discussions lorsqu’elles parlaient d’avenir et d’envie, la détermination ardente d’être encore meilleures que ce qu’elles étaient déjà. Leurs détours les avaient finalement rassemblées sur la même voie, comme si elles y étaient destinées. Les brûlures sur la peau de leurs doigts qui n’avaient pas encore cicatrisé se dessinaient, identiques, dans leurs regards – elles n’oubliaient pas les années à Poudlard, la conviction inébranlable qu’elles étaient toutes les deux faites pour arracher le ciel à ses nuages.
« - Est-ce que tu crois que c’est complètement fou ?
- Je ne sais pas si c’est fou, mais je suis persuadée que c’est possible. »

***

« - Dis, John.
- Hm ?
- Et si on n’y arrive pas, toutes les deux ?
- Non, Anne, c’est ridicule. Cette éventualité n’existe pas, tu m’entends ?
- Et si l’une de nous n’y arrive pas ? »

Anne, dans la lumière brisée, avait le visage de la terreur.
Le soleil les écrasait toutes les deux – elles étaient petites, beaucoup trop petites pour les folies qu’elles demandaient.

***

Elles étaient beaucoup trop petites pour les folies qu’elles demandaient.
John était arrivée en retard – la seule fois, la seule fois de trop. Elle ne comprenait pas encore ce qu’elle faisait, ce qu’elle était censée faire. Le danger n’était plus sur un inoffensif papier, il était entre ses bras, il s’insinuait dans le corps de sa sœur et la dévorait comme un parasite. Elle avait hurlé, des bras l’arrachaient à Anne.

John longeait les couloirs de Sainte-Mangouste en serrant à chaque pas un peu plus fort tous les cordages de son cœur.
Et à chaque fois elle ne réussissait pas ; elle se tenait devant cette porte – elle se cherchait sur la poignée, elle se retrouvait en miettes. Et elle se surprenait, en ouvrant la porte, à désirer tellement fort que la lumière l’écrase, qu’elle se réveille dans son lit et qu’on lui dise qu’elle n’avait encore que cinq ans, et que Anne l’attendait sur la pelouse pour jouer à souffler sur les fourmis.
À quel moment s’étaient-elles trompées? Qu’est-ce qu’elles avaient fait de travers, toutes les deux, pour se retrouver chacune là où elles étaient ? L’une allongée sur un lit, le néant remplaçant à chaque fois l’un de ses sens sans annonce ni merci, et l’autre, debout devant la porte, à ramasser ses propres miettes à la petite cuillère ? John ne savait pas, John ne savait plus rien et elle s’asseyait en silence devant le corps allongé de sa sœur, à le regarder, à découvrir avec un peu plus d’horreur à chaque visite toutes les ressemblances qui les liaient toutes les deux. Ensuite elle se mettait à parler – elle parlait sans s’arrêter. Elle ne parlait plus de nous et le pronom du singulier lui brûlait trop la gorge mais elle parlait quand même. Elle parlait de Colin, de la dragée géante, elle promettait à Anne un mariage grandiose. Il y’avait tellement d’espoir dans les mots de John, elle s’en étonnait elle-même quelques fois. Et puis elle posait des questions tellement stupides et Anne y répondait en riant parfois ; tant qu’elle pouvait encore répondre elle le faisait. Elle lui disait parfois, dans les moments de nostalgie, que ne plus voir son visage était ce qu’elle pouvait subir de plus douloureux, que quand elle ne pouvait plus voir John elle n’avait plus l’impression d’exister, que le noir lui importait peu mais qu’elle avait besoin de son visage, de ses yeux bleus, d’un miroir pour son âme. Et John forçait un rire, forçait le bonheur et il sonnait un peu comme de la glace qui se brise.
Sa voix aussi commençait à se craqueler.

« - Dis, John. N’arrête pas de venir me voir, même quand je ne pourrai plus parler, d’accord ? Même quand je ne pourrai plus savoir que tu es venue. Ne me laisse pas, Johnny. Je ne veux pas mourir toute seule.
- Tu ne vas pas mourir toute seule Anne, tu ne vas pas mourir d’accord ? Je te le promets. »

Mais Anne n’entendait plus ses promesses, alors John lui prenait la main, tous les jours et tous les soirs, jusqu’à ce que Anne ne puisse plus sentir sa main.

***

Anne ouvrit les yeux pour voir une esquisse de matin – la lumière n’avait pas effleuré son regard depuis tellement longtemps qu’elle en pleurait.
John appuyait de ses doigts sur l’énorme cache-œil blanc auquel elle ne s’habituait pas encore. Les larmes de Anne lui arrachaient des sourires grands comme l’espoir.
« Maintenant on a toutes les deux les yeux bleus, Anne. »
Anne ne l’entendait pas, mais elle le lisait dans ses sourires.
Elle relisait dans ses sourires.

***

Le silence assourdissant l’avait déracinée du sol, leurs visages la découpaient et elle n’avait même plus la force de s’écrouler par terre. Respirer lui fit brusquement terriblement mal.
« - Qu’est-ce qui s’est passé. »

Ça n’avait même pas sonné comme une question, et sa voix n’était plus la sienne.
Elle entendait vaguement les mots des médicomages, ensuite elle n’entendait plus. Comme Anne, elle n’entendait plus rien.
La douleur avait d’abord implosé, tellement fort qu’elle ne pouvait plus la sentir et pendant un court instant, il y eut le néant. Ensuite elle devenait physique, et ses oreilles sifflaient trop fort. Il lui semblait qu’elle saignait.
« Non, c’est une blague. Arrêtez, lâchez-moi. Mais elle pouvait voir ! Elle allait bien, elle pouvait me voir ! NON, LÂCHEZ-MOI. S’IL VOUS PLAIT. S’il vous plait… Je lui ai promis. »

On l’avait lâchée parce qu’elle se laissait tomber dans le couloir. Sa voix n’était plus qu’un souffle.
Dans le couloir elle était infiniment trop petite et elle répétait les mêmes mots. Elle leur répétait de la transmuter, ensuite elle criait, ils pouvaient, elle pouvait. Elle pouvait la transmuter. Alors on l’avait ramassée, comme un tas de miettes on l’avait ramassée parce qu’elle ne pouvait plus se ramasser elle-même. Et puis on l’avait allongée, et dans d’interminables sanglots elle avait trouvé un sommeil qui ressemblait à la mort.
En se réveillant son cœur était lourd de mille larmes.

***

« - Dis, Johnny. Finalement on peut avoir des ailes, tu vois ? Mais quand on les coupe elles ne repoussent plus.
- John ? À qui est-ce que tu parles ma chérie ? Tu es prête ? Il faut y aller.
- Oui maman.
- N’oublie pas tes fleurs.
- Oui, maman.
- Est-ce que tu travailles la semaine prochaine ?
- Oui. J’ai été transférée dans une autre brigade. »

Le sourire de sa mère ressemblait douloureusement à un autre.

« - Et est-ce que ça va aller pour toi ?
- Bien sûr maman. Ça va toujours, d’accord ? Je te le promets. »

Et celui de John encore plus.





Derrière l'écran
Et là tu mets une petite phrase pour faire très sympathique.


Pseudo ϟ Pumpkin ♥
Et l'âge ϟ 21 ans (omg je vieillis)
Male, Femelle, ou Bumblebee ϟ Fille *^*
Comment tu as connu Wiggenweld ϟ Pouaaah
Des suggestions pour Wiggenweld ? /
C'est quoi, Wiggenweld ? ϟ De l'amour et des plushies ;;
Personnage sur l'avatar ϟ Asuka Soryuu Langley - Evangelion.





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Papa Fayot
Papa Fayot
Messages : 164
Date d'inscription : 15/03/2015



I'll tie my heartstrings — John Vide

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Mar 9 Juin - 12:36
Rebienvenue sur WW John ♥

Cette histoire est un crève-coeur ;;
J'ai grand hate de te valider et de pouvoir suivre la demoiselle en RP ; n'oublie pas de remonter la fiche lorsque tu auras ajouté le caractère ♥
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I'll tie my heartstrings — John

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